Le 15 décembre 2011…. LE TK BREMEN

Le 15 décembre 2011

LE TK BREMEN

un raquier de 109 mètres immatriculé à Malte s’est échoué cette nuit à Erdeven à 2 kilomètres au sud de l’embouchure de la ria d’Etel dans le Morbihan

Que vont bien pouvoir nous raconter tous ceux qui étaient convaincus que les moyens étaient suffisants voire même superflus dans le Golfe de Gascogne depuis le départ en catimini de « l’Abeille LANGUEDOC ».

PHOTOS: (reproduction interdite) envoyées par un membre de l’Association MOR GLAZ

Décembre 2011, le TK BREMEN se mettait au plein, au sec sur la plage d’Erdeven dans le Morbihan en Bretagne

Le 15 décembre 2011

TK BREMEN: A quoi servent encore ces procès ?

Ces procès sont utiles que s’ils font changer les comportements des Autorités Maritimes et Portuaires,

s’ils permettent de recadrer les « pavillons de complaisance » « les pseudo-armateurs » et autres irresponsables du transport maritime,

s’ils permettent de laisser, « de redonner » certaines libertés et prérogatives  aux Capitaines de navires, comme celle de rester à quai lorsque le temps est trop mauvais, ou le navire en mauvais état !

C’est pourquoi certains élus et associations réclamaient des mesures.

« Le TK BREMEN devait-il impérativement quitter le port de Lorient (afin d’économiser quelques euros de droits de quai) par de telles conditions météorologiques prévues depuis plus de 48 heures ?

Après ce procès, les autorités portuaires devraient avoir le pouvoir d’empêcher les appareillages lors de telles conditions météorologiques» ou lorsqu’un navire est jugé dangereux pour son Equipage et l’Environnement. L’association MOR GLAZ garde ce cap.

Durant ces trois jours, les débats, s’annoncent  passionnés au Tribunal correctionnel de Brest, ils sont ouverts, ils doivent faire changer les us et coutumes dangereuses.

Pour l’association MOR GLAZ   Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

L’ Association MOR GLAZ remercie David GAUTHIER et Frédéric BOST pour leur vigilance et d’avoir alerter les médias sur la pollution possible et visuelle survenue sur la rade de Brest le dimanche 16 septembre 2018.

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L’association MOR GLAZ s’interroge sur le manque de réactivité des autorités maritimes et portuaires…..ce manque de réactivité serait-il dû week-end ?

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Le Code des transports par son article R5333-17 et l’arrêté conjoint du Préfet de Région Bretagne et du Président de région Bretagne permettaient aux officiers de port d’empêcher ce navire de larguer les amarres.

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L’association MOR GLAZ rappelle que le parquet de Brest peut s’autosaisir et diligenter une enquête.

L’association MOR GLAZ avait le 10 novembre 2017 attiré l’attention des autorités françaises de rejets du cargo SW CAP FERAT-1, malgré les photos prises par un Marin pêcheur nos questions étaient restées sans vraie réponse comme d’habitude !!

Président de l’association MOR GLAZ   Jean-Paul HELLEQUIN

 

D’après nos informations, le vieux cargo « ANTIGONE Z » serait de plus en plus visité sur le port de Brest. Le port ne serait-il pas aussi sécurisé que prétendu comme affiché dans cette zone du bassin ?

Bref rappel : Le cargo « ANTIGONE Z » est abandonné dans le port de Brest depuis février 2013, après avoir passé quelques mois le long du quai à Douarnenez. Ce navire était arrivé au port de Douarnenez pour embarquer du poisson congelé, le navire fut arrêté rapidement par le Centre de Sécurité des Navires. Les Marins du bord n’étaient pas payés depuis plusieurs mois. L’inspectrice ITF Laure TALLONNEAU avait mobilisé la CGT et les Associations autour de la situation des Marins, elle avait su créer un élan de solidarité, qui fut bénéfique aux Marins.

Dès septembre 2008 après un incendie survenu à bord du « CAPTAIN STAREV », l’association MOR GLAZ avait lancé une alerte sur le réel danger de voir ces vieilles coques immobilisées trop longtemps le long d’un quai serait-il sécurisé !

Part ce communiqué l’association MOR GLAZ met en garde une nouvelle fois devant le manque d’autorité face à ces « pseudo-armateurs » qui abandonnent Marins et navires le long d’un quai.

Ces visites répétées à bord du cargo « ANTIGONE Z » sont un réel danger pour le port. Le manque de réactivité lors des abandons des navires et des Equipages est préoccupant, il faut passer à la vitesse supérieure, un incendie à bord de ce navire serait grave pour de nombreuses raisons.

-« Nous, association MOR GLAZ nous continuons de dire que ces navires sont dangereux, lorsque ce genre de situation est rencontrée, il faut envoyer le navire au plus près pour le déconstruire « le recycler ». Ce cargo « ANTIGONE Z » aurait été racheté le 5 avril 2017 pour une valeur de 3950€, « certainement quelqu’un de sérieux » qui est donc responsable de cet engin flottant !

L’association MOR GLAZ est en droit de s’interroger sur les moyens mis en place afin de surveiller « de sécuriser » ces vieux navires, « ANTIGONE Z » et « KARL » autre navire poubelle ! Cet engin flottant est-il vidé de ses soutes et autres produits polluants ?

Certes le port de Brest est bien sécurisé « voir même zélé » pour empêcher l’accès aux Militants Associatifs et Syndicaux, pour le reste nous avons un sérieux doute ! Serions-nous des gens dangereux, parce que nous voudrions parfois contacter des Marins ? En tous les cas, moins dangereux que les squatteurs de vieux navires dans le port de Brest !

La déchéance de propriété d’un navire serait souhaitable dès six mois de présence dans un port sans Equipage ! Un navire devrait être considéré comme abandonné rapidement, même s’il y a parfois un « pseudo-armateur » caché dans un paradis fiscal qui se revendique de temps en temps d’être le propriétaire. Ces navires doivent être déconstruits »recyclés » au plus près !

L’association MOR GLAZ continuera avec d’autres à arrêter des navires lorsque des Marins seront embarqués dans des conditions hors normes, à bord de navires hors normes dangereux pour les Marins !

Pour l’association MOR GLAZ      Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

 

Si la garantie bancaire de 15000€ n’avait pas été versée par l’armateur de ce navire, afin qu’il puisse accoster à Brest, que serait-il advenu des 25 Marins du  » BALTIC PERFORMER « . Étaient-ils condamnés à vivre durant plusieurs semaines sur un navire accusant 18 degrés de gîte ?

* Le samedi 21 octobre 2017, le cargo  » BALTIC PERFORMER  » s’est fait prendre dans la tempête au sud de la Bretagne. Ce cargo frigorifique venant des Pays-Bas se rendait au Sénégal avec un chargement de légumes disposés en cale sur palettes.

Ce navire, battant pavillon du Libéria devrait entrer au port de Brest ce mardi 24 octobre 2017 en fin de journée. Cette opération est très délicate pour le ramener à quai en toute sécurité, afin de le redresser et de saisir la cargaison. Cette opération démontre le professionnalisme des sociétés portuaires Brestoises !

L’association MOR GLAZ a une pensée particulière pour le Capitaine et l’Equipage du  » BALTIC PERFORMER  » composé de Marins Russes et Ukrainiens. L’association MOR GLAZ a aussi une compassion pour les 25 Marins du bord, ils auront dû affronter des conditions de vie très particulières sur un navire accusant 18 degrés de gîte, une situation particulièrement difficile et dangereuse pour eux sans aucun doute !

Les Marins permettent 90% des échanges mondiaux. L’association MOR GLAZ s’interroge si les 15000€ n’avaient pas été versé, que serait devenue la situation déjà difficile de ces Marins ? Tous les ports Français, Européens et Mondiaux prennent-ils de telles garanties, précautions, fonctionnent-ils tous de la même manière. Cette question se pose, elle devra être évoquée ! Quelle serait la décision des autorités portuaires en cas de non solvabilité d’un armateur, y a-t-il des solutions d’urgences afin de faire face aux armateurs non solvables ?

En 2000, suite à l’escale forcée à Brest du cargo  » VICTOR  » une ligne budgétaire de 20 millions de Francs (plus de 305000€) avait été mise en place pour faire face à certaines situations douloureuses, elle fut confiée à L’Association pour la Gestion des Institutions Sociales Maritimes(AGISM) ayant disparue en juillet 2016…. qui gère désormais cette ligne budgétaire ?

Pour l’Association MOR GLAZ Le Président

Jean-Paul HELLEQUIN

 » BALTIC PERFORMER » à  BREST

Naufrage de deux coques de navires type Supply au large de la Bretagne, appartenant à l’armateur Danois MAERSK.

le 24 décembre 2016 – L’Association MOR GLAZ avait un sérieux doute sur les passeports verts de ces deux navires partant se faire déconstruire en Turquie, alors que ceux-ci auraient pu  » dû  » se faire déconstruire dans un chantier du Nord de l’Europe !!

Ces deux épaves sont au fond de la mer d’Iroise depuis deux jours, l’une contient 10m3 de fioul lourd, les déclarations des autorités :  » la pollution sera brassée « . Pour l’association MOR GLAZ la pollution ne sera plus visible certes, mais elle sera bien là et pour de nombreuses années !!! Exemple le cargo PETER SIF au fond de la baie de Lampaul à Ouessant depuis le 15 novembre 1979, laisse remonter de temps en temps du fioul à la surface.

L’association MOR GLAZ demande, que le propriétaire des deux coques assume toutes ses responsabilités. Il ne faut aucune clémence lorsque la mer est polluée, car elle l’est !

Depuis 48 heures reposent deux épaves au fond de la mer au large de la Bretagne. Le premier transporteur maritime mondial qui devrait montrer l’exemple agit comme un  » pseudo-armateur  » lorsqu’il s’agit de déconstruire ses vieux navires….que va faire la cinquième puissance mondiale, communiquer pour rassurer ou faire payer le pollueur imprudent.

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le 23 décembre 2016 – Naufrage de deux coques de navires type Supply au large de la Bretagne, appartenant à l’armateur Danois MAERSK. La France doit en savoir plus sur ce naufrage ! La mer n’est pas une poubelle, ni un parc à ferraille pour vieux navires !!

Les faits : le 22 décembre 2016 à 01h55, le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) d’Etel reçoit un appel VHF du supply MAERSK BATTLER, signalant un événement de mer et qu’il effectue le remorquage de deux coques de type Supply au large de la Bretagne.

Le Capitaine du MAERSK BATTLER informe qu’il remorque deux coques de type supply, le convoi fait route vers la Turquie. Les deux coques sont remorquées à couple l’une est le MAERSK SEARCHER et la seconde le MAERSK SHIPPER pour y être déconstruites en Turquie. Le Capitaine du MAERSK BATTLER signale une voie d’eau sur l’une des coques remorquées et qu’elle sombre à la position estimée : 48°04.6N-006°24.4W, à 60 milles dans l’ouest de l’île de Sein.

Quelques heures plus tard, le Capitaine du MAERSK BATTLER signale que le naufrage de la seconde coque, il s’agit du MAERSK SHIPPER à la position estimée : 48°00.9N-006°37.0W, à 70 milles dans l’ouest de l’île de Sein, qu’il n’y aurait aucune victime et pas de risque de pollution, le Capitaine du MAERSK BATTLER continue sa route vers la Turquie. : Pourquoi, le MAERSK BATTLER, n’a-t-il pas été détourné vers Brest, les autorités connaissaient-elles l’état de ce supply remorqueur, qui lui aussi est destiné à la déconstruction ?

Pourquoi les autorités Françaises sont-elles aussi frileuses envers ces grands armateurs mondiaux, qui ont les moyens de faire déconstruire leurs navires au plus près, et de les faire remorquer en toute sécurité ?

Pour l’association MOR GLAZ, il y a toujours des risques lorsque des vieilles coques sont remorquées et surtout à couple, et lorsque les trois coques sont vouées à la destruction, les risque sont majeurs.

L’association MOR GLAZ demande que le propriétaire des trois coques, assument toutes ses responsabilités. Il ne faut aucune clémence lorsque la mer risque d’être polluée, car elle le sera à cet endroit tôt ou tard. Depuis 24 heures, il y a danger de pollution et de croche à 60 et 70 milles au large de la Bretagne.

Pour l’association MOR GLAZ Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

Un cargo et un pétrolier en difficulté dans la Manche  » côté Anglais  » les moyens nautiques Français interviennent, sur la demande des autorités maritimes de Douvres !!

 

Le 20 novembre 2016 en matinée, sollicités par les autorités maritimes de Douvres (Grande-Bretagne), le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) de Gris-Nez et le Centre des Opérations Maritimes (COM) de la préfecture de la Manche et de la Mer du Nord ont coordonné une opération d’assistance du remorqueur d’intervention et d’assistance ABEILLE LANGUEDOC au profit de 2 navires en difficulté dans les eaux britanniques.

Le cargo SAGA SKY (IMO 9144354-Pavillon Hong Kong), peu manoeuvrant dans des conditions de mer difficiles, dérive vers Douvres et heurte une barge à ciment qui le stoppe, créant plusieurs brèches dans ses ballasts à eaux de mer pleines.

Le tanker COASTALWATER (IMO 9205158 – Pavillon hollandais), quant à lui, ne tient pas son poste de mouillage à 3,5 Milles Nautiques (6,5 kilomètres) de Douvres et dérive vers la côte britannique malgré ses deux ancres.

Priorité ayant été donnée au tanker par les autorités britanniques, le remorqueur ABEILLE LANGUEDOC a stabilisé le COASTALWATER à son poste de mouillage. Suite à l’amélioration des conditions météorologiques et observant sa bonne tenue au mouillage, les autorités britanniques ont réorienté leur demande de concours du remorqueur ABEILLE LANGUEDOC pour assister le SAGA SKY.

Compte tenu de l’amélioration météorologique, le cargo SAGA SKY a retrouvé une meilleure capacité de manœuvre et les autorités britanniques l’ont dirigé vers un point de mouillage à l’abri, accompagné par l’ABEILLE LANGUEDOC. Une équipe composée d’un pilote du port de Dunkerque et d’un membre d’équipage du remorqueur a été envoyé à bord du cargo pour évaluer ses brèches et sa capacité à rejoindre un lieu de réparation.

Couler le cargo  » MODERN EXPRESS  » comme cela a été envisagé n’aurait pas été la bonne solution, les endroits refuges tant prônés par la France et l’Union Européenne se trouveraient-ils au fond des océans ?

L’association MOR GLAZ souhaite réagir à l’option qui a été envisagée par les autorités Françaises de couler le cargo  » MODERN EXPRESS  » afin de mettre fin à son périple dans le Golfe de Gascogne fin janvier début février 2016.

L’association MOR GLAZ est choquée que cette option ait pu être seulement envisagé. Couler ce navire avec sa cargaison, mais aussi avec son fioul de propulsion, ses huiles et autres produits certainement toxiques pour la faune et la flore, donc pour l’Homme… ceux qui ont abandonné ou qui se sont opposés à cette option ubuesque voire absurde doivent être salués.

Alors qu’il nous est sans cesse vanté  » répété  » que la France possède des moyens pour faire face à toutes les situations, que les endroits refuges seraient tous recensés pour accueillir les navires en difficultés, que des équipes d’interventions seraient prêtes, que les remorqueurs portuaires seraient prêts à agir, etc.…. la réalité nous semble être tout autre.

L’association MOR GLAZ reconnaît qu’une telle situation n’est pas facile à gérer, mais l’option de couler le navire était une mauvaise option, elle est l’option de l’impuissance face aux accidents maritimes. Entre couler le navire et le laisser s’échouer sur les plages Vendéennes, l’association MOR GLAZ préfère la deuxième solution qui est la moins pire…….

L’association MOR GLAZ ne peut pas rester sans réagir à une telle option qui a été évoquée, la France organisatrice de la COP 21! le discours et la façon d’agir sont diamétralement opposés.

Face à un pétrolier, à un porte-conteneurs abandonné par l’equipage, l’option des coups de canon et des missiles sera-t-elle aussi celle qui pourrait être préconisée puis retenue…. ou alors celle du sauvetage avec des moyens suffisants en hommes et en moyens.

Parmi les priorités, les obligations : Le Smit Bracket sur tous les navires, pouvant supporter une traction adéquate à chaque navire, ainsi qu’une remorque de secours. L’Organisation Maritime Internationale (OMI) et l’Agence Européenne de Sécurité Maritime (AESM) doivent l’imposer, ainsi que le JMLD Ecologic System.

 

Remorqueur à La Rochelle : M. Valls répond à Dominique .Bussereau – L’Association MOR GLAZ réagit

  Lettre ouverte adressée à Monsieur Manuel VALLS

        Landerneau le 19 avril 2016

Objet : Les moyens nautiques pour couvrir la zone du Golfe de Gascogne.

Monsieur le Premier Ministre,

L’association MOR GLAZ souhaite répondre à votre courrier du 12 courant, adressé à Monsieur Dominique BUSSEREAU et paru dans la presse. Nous craignons que vous traitiez  » considériez  » la sécurité maritime comme un sujet assez banal et que vous ne soyez hors sujet.

L’association MOR GLAZ, vous rappelle, que plusieurs parlementaires devenus depuis Ministres dans votre gouvernement demandaient, exigeaient le remplacement du remorqueur dans le Golfe de Gascogne qui avait quitté sa zone le 1er Septembre 2011 pour rejoindre le détroit du Pas-de-Calais.

L’association MOR GLAZ maintient que les moyens nautiques manquent pour couvrir la large zone du Golfe de Gascogne. Nous sommes par ailleurs assez surpris, que vos Conseillers ne sachent pas faire la différence entre un supply et un remorqueur de sauvetage. Nous sommes étonnés et surpris que vos Conseillers n’aient retenu que la distance pour vous démonter que le port de La Rochelle était plus éloigné de la position du  » Modern Express  » que le port de Brest. Monsieur le Premier Ministre, il aurait fallu calculer tous les paramètres existants ce jour là (direction du vent, force de la mer, la position du remorqueur s’il y en avait eu un de positionné à La Rochelle etc.….).

Monsieur le Premier Ministre, lorsqu’un paquebot géant, lorsqu’un porte-conteneurs géant ou autres navires se trouveront en difficulté, une fois encore nous ne serons que des spectateurs d’une situation qui aurait pu  » dû  » être évitée. Nous constatons que les responsables politiques et les pouvoirs publics de notre pays ne connaissent rien ou pas grand-chose aux sujets maritimes et plus particulièrement dans le domaine du sauvetage en mer.

L’association MOR GLAZ, constate que dans certains cas, les moyens de sauvetage sont dépassés (en 10 ans la capacité des porte-conteneurs a doublé… celle des paquebots a triplé). Les responsables du sauvetage et les pouvoirs publics doivent prendre en conscience qu’il est temps d’adapter les moyens de secours. Chaque exercice, chaque incident, chaque accident maritime devrait accélérer vos décisions de Premier Ministre.

Parmi les priorités : Le Bracket Smit pouvant supporter une traction de plus de 270 tonnes sur les gros navires devrait être rendu obligatoire par l’Organisation Internationale Maritime (OMI) et l’Agence Européenne de Sécurité Maritime (AESM). Une remorque de secours devrait être à poste sur tous les navires, prête à être connecté en cas de besoin, facilitant ainsi la tâche des sauveteurs.

L’association MOR GLAZ, estime sans tomber dans la caricature, que les moyens nautiques sous l’autorité des Préfets Maritimes doivent être plus nombreux et plus puissants, il suffit pour cela d’être un peu réaliste.

Je vous prie de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’assurance de nos sentiments les meilleurs.

Jean-Paul HELLEQUIN

Président de l’association MOR GLAZ