L’association MOR GLAZ est satisfaite comme un grand nombre, que le chantier de réparation Brestois reçoive de plus en plus de navires et que l’activité reprenne malgré la crise mondiale de la construction et de la réparation navale.

L’association MOR GLAZ constate que nous avons depuis quelques temps dans le port de Brest tous les éléments pour effectuer un exercice comme en mars 2013, avec le  » CMA CGM MARCO POLO « .

Un tel exercice avec le  » EMMA MAERSK  » (398 mètres de long 56 mètres de large et 16 mètres de tirant d’eau) en ce moment en réparation à Brest permettrait de tirer certaines conclusions….les moyens de sauvetage pour un tel navire sont-ils suffisants par vents forts et une mer agitée ? et ainsi se rendre compte si les navires de ce type à remorquer sont suffisamment équipés pour faire face à des remorquages qui doivent être réalisés rapidement (dans l’urgence selon la position du navire).

Les points d’amarrages où sont capelées les pantoires résisteraient-ils et à quelle traction? résisteraient-ils à plus de 200 tonnes de traction ? ces navires sont-ils équipés de remorque de secours ?

Pour l’association MOR GLAZ, les armateurs sérieux (et il y en a) devraient être précurseurs et ne pas attendre la décision la préconisation de l’Organisation Maritime Internationale qui tarde, à imposer certaines mesures aux armateurs récalcitrants (et il y en a).

Il n’est pas utile d’attendre une catastrophe pour équiper les navires afin d’effectuer des prises de remorques rapides évitant des dérives trop longues « interminables  » mettant en danger les marins, les autres navires, l’environnement et la perte de biens !

La course effrénée au gigantisme des navires continue, cela obligera tôt ou tard les pays ou croisent ces géants à mettre en place des remorqueurs plus puissants que ceux existants à Boulogne, Cherbourg, Brest et Toulon, mais aussi à faire pression sur l’Organisation Maritime Internationale et l’Agence Européenne de Sécurité Maritime en évitant toutes ces réunionnites inutiles… il faut se décider rapidement.

En 2005, lors de la mise en service des remorqueurs Abeilles BOURBON et LIBERTE, les porte-conteneurs transportaient de 9 à 11 000 conteneurs, en 10 ans la capacité a doublé, les dangers eux ont été multipliés par 3 ou 4 …la prise au vent de ces navires étant dangereuse et interdisant certaines manœuvres, ainsi que la multiplication des produits dangereux transportés sur le même navire.

En 2012 16.000 Equivalent à Vingt Pieds (un EVP 38,5 mètres cube),

en 2013 18.000 EVP, en 2015 19.000 EVP,

en 2017 22.000 EVP…. et après ?

Ces géants de plus de 400 m de long, et de plus de 54 de large ne peuvent par vent de plus de 35 nœuds et mer formée être secourus par aucun des moyens nautiques existants en France et ailleurs dans le monde

.Pour l’association MOR GLAZ cette course au gigantisme est dangereuse  » mais elle existe « ,… donc les moyens de sauvetage doivent être renforcés  » appropriés  » partout en Europe et dans le monde.

L’association MOR GLAZ demande que l’Organisation Maritime Internationale et les assureurs de ces navires imposent aux armateurs d’équiper tous ces navires de ce que nous préconisons plus haut et du JLMD Écologic System.

Jean-Paul HELLEQUIN Président de l’association MOR GLAZ

c/c : Président de le République, Premier Ministre, Madame Ségolène Royal, Secrétaire d’Etat aux Transports, Direction des Affaires Maritimes, Secrétariat Général à la Mer

ABEILLE BOURBON remorque un chimiquier en panne de propulsion au large de la pointe du Raz ! Le 20 février 2016

L’équipage du chimiquier Turc après avoir essayé en vain de réparer sa panne de propulsion, a été mis en demeure de faire cesser tout danger.

L’association MOR GLAZ ne peut que saluer la décision prise par le Préfet Maritime de l’Atlantique.

Au moment de la mise en demeure, le navire se trouvait à 24 nautiques (44 kilomètres) à l’Ouest de la pointe du Raz, la mer était forte, et le navire dérivait vers l’Est.

Vers 17h00, l’Abeille Bourbon en alerte météorologique à Camaret s’est dirigée vers le navire en panne de propulsion. Le convoi est arrivé en rade de Brest le 21 février 2016 vers 1h30.

Ce navire appartient à l’Armateur Turc BESIKTAS SHIPPING GROUP qui possède 17 navires. Le BESIKTAS ORIENT a été inspecté en Suède en juin 2015 et ne présentait aucun problème

L’échouement du CSCL Indian Ocean dans l’Elbe (rivière qui mène au port de Hambourg) pose la problématique des géants des mers au large, à proximité des ports, et à quai…. Cet incident démontre que l’association MOR GLAZ avait raison d’être inquiète et vigilante par ces navires qui peuvent transporter jusqu’à 19.000 conteneurs (22.000 prochainement). Ces conteneurs transportent tous types de produits pas très bien définis ! Ces géants des mers sont là… nous devons  » pouvons  » les accepter mais pas forcément les subir…. L’Union Européenne, les Etats, L’Organisation Maritime Internationale, l’Agence Européenne de Sécurité Maritime doivent ensemble redéfinir, mettre en place des règles strictes pour faire face aux réels dangers que représentent ces navires.

Cet incident démontre que l’association MOR GLAZ avait raison d’être inquiète et vigilante par ces navires qui peuvent transporter jusqu’à 19.000 conteneurs (22.000 prochainement). Ces conteneurs transportent tous types de produits pas très bien définis !

Ces géants des mers sont là… nous devons  » pouvons «  les accepter mais pas forcément les subir….

L’Union Européenne, les Etats, L’Organisation Maritime Internationale, l’Agence Européenne de Sécurité Maritime doivent ensemble redéfinir, mettre en place des règles strictes pour faire face aux réels dangers que représentent ces navires.

En 2013 l’association MOR GLAZ préconisait  » suggérait  » des remorqueurs plus puissants (100 tonnes de puissance de traction) dans les ports qui reçoivent ces navires en escale… Plus de 250 tonnes de traction pour les remorqueurs de sauvetage, y compris pour couvrir le Golfe de Gascogne.

C’est pourquoi l’association MOR GLAZ préconise plus de moyens…

En 2005, lors de la mise en service des remorqueurs Abeilles BOURBON et LIBERTE, les porte-conteneurs transportaient de 9 à 11 000 conteneurs, en 10 ans la capacité a doublé, les dangers eux ont été multiplié par 3 ou 4 …la prise au vent de ces navires est dangereuse et interdit certaines manœuvres, la multiplication des produits dangereux transportés sur le même navire en est un autre ! En 2012 16.000 Equivalent à Vingt Pieds (un EVP 38,5 mètres cube), en 2013 18.000 EVP, en 2015 19.000 EVP, en 2017 22.000 EVP et après ? Il faut des remorqueurs supérieurs à la puissance des Abeilles BOURBON et LIBERTE (l’actualité de ces derniers jours sur l’Elbe nous donne raison).

L’association MOR GLAZ demande un redéploiement et un renforcement de la flotte de remorqueurs en France. Tous les navires marchands et notamment ces géants doivent être équipés d’un système de remorquage (voir sur le site) afin de pouvoir passer rapidement une remorque sans faire prendre des risques inutiles aux sauveteurs.

L’association MOR GLAZ demande que l’Organisation Maritime Internationale et les assureurs, imposent aux armateurs d’équiper certains navires de JLMD Écologic System (en lien sur le site).

Ubuesque comme comportement, après avoir tout fait pour recevoir ces géants en investissant des sommes considérables d’argent public, en ayant instauré une concurrence effrénée entre les ports, les mêmes milieux portuaires du nord de l’Europe rivalisent d’arguments pour diaboliser les grands porte-conteneurs. Certains même suggèrent de déplacer le danger en les envoyant dans d’autres ports (de Hambourg vers Wilhelmshaven) il aurait fallu y penser avant, les seuls moyens d’essayer de faire face aux dangers, écologiques, humains et économiques est d’essayé de tout prévoir en imposant les suggestions énumérées ci-dessus !

22 marins sauvés d’un navire en détresse dans le Golfe de Gascogne secourus par des hélicoptères espagnols le 26 janvier 2016. L’association MOR GLAZ salue les sauveteurs. L’association MOR GLAZ salue la réactivité du Préfet Maritime.

Le « MODERN EXPRESS » immatriculé au Panama, ce navire de type roulier et d’une longueur de 164 mètres se situait dans le Golfe de Gascogne et dans la zone économique exclusive française au moment de l’abandon du navire.

En provenance du Gabon, le navire faisait route vers le port du Havre et se trouvait à la verticale au nord de la Corogne (Espagne) à hauteur de La Rochelle.

Le « MODERN EXPRESS «  transporte 3.600 tonnes de bois débité en fardeaux et des engins de travaux public.

le  » MODERN EXPRESS  » avait pris une très forte gîte  » 40 degrés  » pour une raison encore indéterminée et constituait un véritable danger pour la navigation dans cette zone maritime fréquentée par tous types de navires.

Le Préfet Maritime de l’Atlantique « avait mis en demeure l’armateur du navire de faire cesser le danger » avant ce jeudi matin. Pour l’association MOR GLAZ ce délai est trop long, car le navire est abandonné et donc livré à lui-même, ce type de navire peut chavirer rapidement selon les causes de sa gîte, sombrer et donc polluer.

L’association MOR GLAZ constate par ailleurs que le remorqueur Espagnol le  » DON INDA  » n’a pas participé au sauvetage d’un navire qui se trouvait dans sa zone, le plan Biscaye ne serait-il pas aussi efficace qu’il nous l’est présenté, la France ne pourrait-elle compter que sur ses moyens ?

L’association MOR GLAZ revendique plus que jamais un remorqueur de haute mer Français à plein temps dans le Golfe de Gascogne.

Même si nous constatons que les moyens mis à la disposition des Préfets Maritimes sont de mieux en mieux utilisés, nous demandons plus de moyens nautiques et des  » REMORQUEURS  » plus puissants, ayant plus de force de traction.

Lors du dernier coup de vent, le cargo  » BUSE TRIO  » battant pavillon Panaméen, appartenant à un armateur Turc était resté mouillé plusieurs jours en baie de Douarnenez, surveillé par le remorqueur ABEILLE BOURBON,

L’association MOR GLAZ après un certain scepticisme sur la solvabilité et le sérieux de l’armateur, doute désormais d’un proche départ du cargo  » BUSE TRIO « .

Les arriérés des salaires représentent à ce jour environ 15 900 dollars pour deux Marins Indiens et six Marins Turcs. L’association MOR GLAZ demande aux autorités de ne pas entrer dans un poker menteur avec cet armateur Turc, trop de Marins dans le monde sont victimes de ces  » pseudo-armateurs  » menteurs.

Certains Marins ne voient jamais leurs salaires après avoir navigué durant des mois. Ces situations existent de plus en plus, les Marins en sont toujours les victimes, alors réfléchissons ensemble et unissons nos efforts pour rendre meilleure les conditions de vie les Marins du Monde.

L’association MOR GLAZ demande au Centre de Sécurité des Navires de Brest et aux autorités portuaires de bloquer le navire tant que ces Marins n’auront pas perçu la totalité de leurs salaires.

L’association MOR GLAZ très sceptique sur la qualité du cargo  » BUSE TRIO  » remorqué ce 13 janvier 2016 vers le port de Brest, et sur le respect de la Maritime Labour Convention 2006.

Le cargo  » BUSE TRIO  » battant pavillon Panaméen appartenant à un armateur Turc qui est resté mouillé plusieurs jours en baie de Douarnenez, surveillé par le remorqueur ABEILLE BOURBON. Ce mouillage a fait l’objet de quelques critiques de la part de  » L’association Observatoire du Littoral des Iles et de la Mer d’Iroise  » elle se dit surprise de la décision des autorités maritimes d’avoir accordé un poste de mouillage à un cargo en panne de propulsion en fond de baie de Douarnenez, notamment dans sa partie Est, alors qu’un vent fort de Noroît soufflait sur la pointe du Finistère.

Pourquoi ce navire n’est-il pas rentré directement sur Brest : l’association MOR GLAZ croit quant à elle avoir la réponse. Il fallait au port de Brest, à la Région, à l’Agent maritime, et aux autorités des garanties financières au cas où l’armateur ne serait pas solvable.

Nous savons par plusieurs sources fiables, que certains marins du bord auraient des arriérés de salaire et que le navire serait limite pour naviguer en toute sécurité pour les marins du bord et pour l’environnement.

Encore un navire qui passe régulièrement entre les mailles de la sécurité, sauf que cette fois l’escale est un peu forcée et qu’elle va  » pourrait  » se compliquer pour l’armateur.

L’association MOR GLAZ demande que tous les marins soient payés rapidement,  avant même que commence les réparations, et que le navire soit remis en parfait étatavant son départ…. si cela est encore possible.

Pourquoi avoir ramené le  » HC JETTE-MARIT  » à Brest dans un port qui n’est pas équipé pour débarquer ce genre de cargaison…. Pour l’association MOR GLAZ une affaire à suivre.

Une escale forcée pour le cargo  » HC JETTE-MARIT  » comme souvent lors de ces escales forcées dans le port de Brest ou ailleurs (enfin espérons) des manquements à la sécurité sont constatés sur les navires.

Hier 17 septembre 2015 vers 16h00 le cargo  » HC JETTE-MARIT  » sur décision du Centre de Sécurité des Navires (CSN) du port de Brest a été détenu pour des déficiences techniques graves (qui paraissent anodines pour certains et pourtant…).

L’association MOR GLAZ félicite les agents du (CSN) pour cette sage décision. Ce navire est immatriculé à Antigua et Barbuda, et classé par la société de classification Japonaise Nippon Kaiji Kyokai. Ce cargo du type  » vracquier  » ne serait pas censé pouvoir transporter du ferro silicium et du ferrochrome. La société de classification Nippon Kaiji Kyokai n’aurait pas classé le navire pour transporter ce type de cargaison, cela n’aurait pas dérangé le port de Vlissingen, port dans lequel a chargé le navire.

La qualité du navire est remise en cause, par des personnes qualifiées  » averties « , elles nous décrivent même le navire comme  » un navire en mauvais état  » donc dangereux pour les marins qui se trouvent à bord et pour l’environnement.

Que faire de ce navire et de cette encombrante cargaison ? Les autorités portuaires avaient-elles tous les éléments avant d’accepter  » d’accorder  » l’escale de ce navire à Brest.

Le Mardi 8 septembre 2015, le vracquier  » HC JETTE-MARIT  » est arrivé sur rade de Brest sous remorque, en avarie de machine.

Ce navire venait de Vlissingen (Pays-Bas) sans être inquiété par les autorités, il se rendait à la Nouvelle Orléans. En avarie de machine en Manche il avait été pris en remorque.

Dans un premier temps le convoi avait rejoint un mouillage en baie de Douarnenez pour des raisons de sécurité. Mouillage imposé (à juste titre par les autorités) par la nature de sa cargaison à risque, cependant l’équipage était resté à bord, à notre connaissance sans consigne particulière.

Pour l’association MOR GLAZ, le danger était moindre ou alors les marins Russes, Polonais, Ukrainiens et Philippins ne sont pas une priorité, peu de respect pour les marins.

Les ennuis de l’armateur du  » HC JETTE-MARIT  » ne sont pas terminés, 19 500 tonnes de ferro silicium et du ferrochrome (pour une valeur de 20M€) des minéraux utilisés en sidérurgie qui présentent un éventuel danger.

Le stockage et le transport pouvant dégager de l’hydrogène en présence d’eau, sur un navire ayant des problèmes de ballasts le danger est bien présent.

D’après nos informations, les ouvriers de la réparation navale Brestoise auraient refusé de monter à bord avant d’avoir des garanties sur leur sécurité et leur santé.

Les marins du  » KARL  » abandonnés à Brest, qui fait quoi ….

Le mercredi 25 mars 2015 à 14 h00  » la commission de bien-être des gens de mer  » s’était réunie concernant la situation des marins embarqués à bord du navire « KARL », cette réunion avait montré l’inquiétude de tous les participants sur le devenir de l’équipage du cargo  » KARL  » composé de 8 marins. Depuis 48 heures le  » pseudo-armateur  »  » amateur  » ne peut plus nourrir les marins, et les salaires de mars ne sont pas payés. L’association MOR GLAZ considère que les marins sont abandonnés pour des raisons évidentes.

Le  » pseudo-armateur « , affréteurs, courtiers maritimes et autres racontent les mêmes histoires que pour les abandons précédents.*Comment les Administrations peuvent-elles ainsi se laisser berner, des autorités portuaires qui ne souhaitent qu’une chose le départ du  » KARL  » peu importe les conditions sociales de ces marins.

Pour l’association MOR GLAZ, les marins doivent être rapatriés le plus rapidement avec tous les arriérés de salaire…..Le devenir du  » KARL  » n’est pas notre affaire. Ces marins ne doivent pas croire aux promesses aux  » mensonges  » du  » pseudo-armateur  » ou autres, au risque de se retrouver abandonnés dans un pays humainement pas  » peu  » regardant.

Ces marins sont originaires du Honduras, du Guatemala, et de Roumanie….Ces marins méritent le respect, comme tous les marins….ces marins qui participent au transport de 7 milliards d’échange par an.

Le  » pseudo-armateur  »  » amateur  » devra tôt ou tard payer les salaires, ou l’affréteur du navire, ou autres mais, une solution rapide doit être trouvée.

Plus le temps passe, plus la situation sera difficile pour tout le monde, mais surtout pour ces marins, ces marins dont certains de cet équipage ont déjà vécu une telle situation scandaleuse, mais cette fois, MOR GLAZ veille, et elle fera appliquer les lois qui protègent ces marins du monde.

La société MSC qui a pignon sur rue applique à sa façon la MLC 2006 censée protéger les Marins.

 L’association MOR GLAZ apprend que trois Marins embarqués à bord du  » MSC SOPHIE  » en escale un peu prolongée au Havre se seraient fait  » virer « …enfin presque…. ils devraient être débarqués lors de la prochaine escale… nous informons nos sentinelles de  » LAS PALMAS « .

L’association MOR GLAZ avait lancé à travers ses réseaux une alerte sociale, car le porte conteneurs  » MSC SOPHIE « , en escale le 30 novembre 2014 dans le port du Havre, ne remplissait pas toutes les normes d’hygiène, sécurité et de confort pour les Marins embarqués sur ce navire battant pavillon du Panama.

La société MSC applique à sa manière la MLC 2006, puisque nous apprenons que trois Marins du bord auraient été  » débarqués  »  » virés  » ou devraient l’être parce soupçonnés d’avoir communiqué avec le Syndicat ITF (Syndicat International des Transports).

L’association MOR GLAZ a eu raison d’attirer l’attention sur ce navire, puisqu’il a quitté le port du Havre que hier 4 décembre dans la soirée. Ce navire croisait ce matin au large des côtes Bretonnes, pour se rendre à Las Palmas port dans lequel il ne risque aucune inquiétude, sauf que, nous informons les autorités du prochain port d’escale. L’association MOR GLAZ rappelle que des règles existent et qu’elles doivent être appliquées et respectées y compris et surtout pour et par les grands armateurs internationaux…..

L’association MOR GLAZ constate cette fois encore que certains armateurs souhaiteraient une omerta complète sur leurs activités et leurs politiques  » sociales « . L’association MOR GLAZ est satisfaite de son action et rappelle par ce communiqué qu’elle n’a pas été informée par un Marin du bord. La sûreté portuaire  » très protectrice des dérives sociales  » nous interdit l’accès aux ports, mais des personnes se sentent concernées par le bien être des Marins. Ces personnes  » sentinelles  » savent attirer notre attention. Nous demandons à la société MSC de réintégrer ces trois Marins. Lorsque l’on prétend être parmi les meilleurs ne vaut-il pas mieux faire naviguer ses  » ces  » Marins dans de bonnes conditions sur de bons navires…..et d’appliquer avec rigueur la MLC 2006.