Un ours a été tué sur son territoire, dans l’archipel norvégien du « SVALBARD » dont l’île principale est le « SPITZBERG » !

Les motifs de ce drame évoqués par la Société Maritime est la légitime défense, mais la triste réalité est tout autre,  

Que va faire l’Homme sur ces territoires ?

Ces touristes (envahisseurs) savent-ils, que cette Région n’est point à eux, mais à ceux qui y habitent depuis la nuit des temps les Animaux terrestres et marins. L’association MOR GLAZ est opposée depuis très longtemps à toute activité dans l’antarctique et l’arctique, car la survie de ces animaux est déjà suffisamment difficile, sans que l’Homme y laisse son empreinte en y allant uniquement pour son plaisir. Il serait peut-être temps que celles et ceux qui nous tiennent des beaux discours agissent pour interdire les activités touristiques dans ces Régions.

L’image de la dépouille de l’ours abattu ne peut que susciter l’indignation, la tristesse et des interrogations, allons-nous dans ces Régions pour y apporter nos dérives ? Une enquête serait ouverte par les autorités norvégiennes sur cet accident, c’est à priori la première fois qu’une activité liée à la croisière se traduit par la mort d’un ours polaire au « SVALBARD »

Pour l’association MOR GLAZ il ne s’agit pas d’un accident …. le propriétaire des lieux a simplement voulu repousser les envahisseurs ! il ne faut pas que cet ours soit mort pour rien, et qu’enfin il soit interdit de fréquenter ces zones.

L’association MOR GLAZ attend de voir comment vont réagir Madame Ségolène ROYAL et Monsieur Nicolas HULOT

pour l’association MORGLAZ , Il est assez surprenant que les armes soient interdits sur les navires de commerce (confiées à des professionnels) pour faire face aux pirates, et pas sur les navires de croisière pour tirer sur des Ours !

L’association MOR GLAZ avait dénoncé avec force lors d’un colloque international qui se tenait à Brest, toute activité maritime et humaine dans ces Régions, les réponses des Organismes officielles ne nous avaient en rien convaincus. Ces activités seraient-elles bien encadrées pour reprendre  les termes convenus et rassurants de l’Organisation Maritime Internationale (OMI).