Depuis le samedi 30 juin 2018 le cargo « St ELIAS » composé d’un Équipage de 22 Marins Roumains en escale commerciale dans le port de Lorient en Bretagne fait parler de lui dans la presse spécialisée et Régionale ! Les 20 défaillances « déficiences » et les conditions des Marins sont sans limites, un retour en arrière de 50 ans ! La complaisance dans toute sa « splendeur » au sein même de l’Europe Maritime, si surveillée et réglementée nous dit-on par l’Agence Européenne de Sécurité Maritime AESM et les Services portuaires !
L’Association MOR GLAZ tient par ce communiqué à féliciter et remercier Laure TALLONNEAU pour ses engagements pour les Marins, tous les Marins du Monde, mais aussi, la communauté portuaire de Lorient, et tout particulièrement Madame Emmanuelle TROCADERO Directrice de Marin’Accueil et les Dockers de ce port de commerce qui permettent aux malheureux Marins du « SAINT ELIAS » d’utiliser leurs douches ! Si la solidarité portuaire était aussi « active » et « présente » dans tous les ports d’ici et d’ailleurs la situation de certains Marins seraient meilleures, il suffit d’un peu de courage et d’humanisme !
Une fois les 17400 tonnes de tourteaux de Soja débarqués, l’Association MOR GLAZ demande que : les affréteurs Grecques, le « pseudo-armateur » Grecque, Sea Light Maritime, l’État du pavillon le Panama, la société de classification Polonaise soient sanctionnés sévèrement autant que le permettront les lois Maritimes !
Ce navire détenu 4 fois depuis 2016, aurait dû être banni du Mémorandum de Paris, alors pourquoi cette clémence « tolérance honteuse » envers ces « pseudo-armateurs » ces bandits des Mers, qui maltraitent les Marins du Monde, et, qui forcément sont capables aussi de polluer les Océans ! Depuis le 2 juillet 2018 les Ministères et Administrations concernés, sont prévenus, l’Association MOR GLAZ compte sur eux pour arrêter définitivement ce navire si nécessaire. Sans les interventions de Madame Laure TALLONNEAU ITF/CGT et celle de l’Association MOR GLAZ, ce navire aurait vraisemblablement effectué son business sans être inquiété comme trop souvent !
L’association MOR GLAZ s’interroge, sur le fait que des navires avec autant de dérives sociales et techniques, escalent sans rencontrer des difficultés « problèmes » de la part des inspecteurs et autres autorités portuaires et maritimes. L’association MOR GLAZ dénonce de telles dérives dans la première activité mondiale ! Les agents, affréteurs, assureurs, Etat du pavillon (ici le Panama), société de classification, ports, etc… sont concernés eux aussi par ces dérives graves, qu’elles soient sociales ou techniques !
Pour l’association MOR GLAZ Le Président Jean-Paul HELLEQUIN