Les  » géants des mers » peuvent ils être remorqués en cas d’avarie, par toutes les conditions météorologiques lorsqu’ils sont chargés en marchandise et en carburant ? La synthèse de l’exercice qui se passe en ce moment au large de la Bretagne nous le dira….des conséquences en seront forcément tirées….

En ce moment (le 1 mars 2016) un exercice de remorquage se déroule au large de la Bretagne avec le remorqueur  » ABEILLE BOURBON  » et le porte-conteneurs  » EMMA MAERSK « . Cet exercice est réalisé afin de vérifier si les moyens de remorquage sont suffisants pour maintenir au cap souhaité ces géants des mers s’ils rencontraient des difficultés.

L’association MOR GLAZ remercie la société maritime  » MAERSK  » comme nous l’avions fait le 9 mars 2013 lors de l’exercice avec le  » MARCO POLO  » de la  » CMA CGM «  les armateurs veulent savoir quels sont les moyens de sauvetages existants.

L’association MOR GLAZ tient à féliciter tous ceux qui ont permis  » organisé  » la réalisation de cet exercice et tous ceux qui en sont à l’initiative. Ces exercices sont utiles et ils devraient être plus fréquents, car la flotte mondiale a opté pour le gigantisme des navires. L’argent qui aura été utilisé aujourd’hui pour réaliser cet exercice aura été utilement dépensé, car c’est de la prévention…. pour tester les moyens, il faut les utiliser pour en tirer certaines conclusions.

Le gigantisme de ces navires reste cependant un danger, les Etats et les armateurs mondiaux doivent se rencontrer et trouver ensemble des solutions pour faire face aux dangers que représentent ces grands navires en mer et dans les ports.

En janvier 2007 les deux plus puissants remorqueurs d’Europe furent mobilisés pour faire face à l’accident du  » MSC NAPOLI  » qui se trouvait dans la Manche qui ne transportait que 2200 conteneurs dont certains représentaient 1700 tonnes de produits toxiques (recensés), 4000 m3 de fioul lourd pour sa propulsion et 142 m3 de gasoil.

Même si cet exercice est déjà un succès par sa réalisation, les moyens de sauvetage et d’intervention ne sont pas suffisants sur le littoral Atlantique.

Par ailleurs, si le  » EMMA MAERSK » avait été en difficulté ….vers quel endroit refuge puis vers quel port aurait il été remorqué ?

En cas de perte de conteneurs, quels sont les moyens mis à la disposition des Préfets Maritimes pour les récupérer. Contrairement à ce que nous avons parfois entendu, tout engin à l’eau… bois… conteneurs et autres engins… sont dangereux pour la navigation, et la mer n’est pas une poubelle.

Cet exercice, même s’il est utile, ne freinera en rien les rencontres de l’association MOR GLAZ afin d’obtenir plus de moyens…. des remorqueurs plus nombreux, plus puissants et plus modernes pour intervenir lorsque cela sera nécessaire.

La prévention depuis 1978 a évité plus de 21 catastrophes équivalentes à celle de  » AMOCO CADIZ « .

Jean-Paul HELLEQUIN Président de l’association MOR GLAZ

 

3 novembre 2016 au Tribunal de Grande Instance de BREST si la pollution volontaire est avérée, le pollueur doit payer le maximum….

Le 24 février 2016 :  un Falcon 50 de la Marine Nationale détectait une pollution en mer. Le cargo responsable de cette pollution a été dérouté vers Brest. Le cargo  » THISSEAS  » est au mouillage en rade de Brest depuis le 26 courant dans la soirée, il pourra reprendre son cap lorsque l’armateur Grecque se sera acquitté d’une caution fixée à 500.000€ par les autorités Françaises.

Il y a quelques années cette pollution aurait fait la une de tous les médias

Une nappe d’hydrocarbure constatée dans le sillage du vraquier le  » THISSEAS  » long de 225 mètres battant pavillon du Libéria. Ce navire en provenance de Saint-Pétersbourg se dirigeait vers la Chine, cette escale forcée devrait donner à réfléchir à d’autres armateurs récalcitrants  » pollueurs  » !

La pollution filmée par l’equipage du Falcon 50 serait de plus de 40 kms de long et de 50 mètres de large. Si cette pollution était avérée volontaire, les responsables devront payer le prix fort. L’association MOR GLAZ, était la première à expliquer dès 2000 à la barre du Tribunal de Grande Instance de Brest, du Havre et de Marseille le fonctionnement obscure d’un certain transport maritime et de certains armateurs qui d’déshonorent la profession. L’association MOR GLAZ ne peut pas accepter de pollution volontaire.

L’association MOR GLAZ sait  » constate  » que depuis quelques années les armateurs sérieux se sont disciplinés, ils ont fait le choix de ne plus polluer (ni ici, ni ailleurs), de traiter les déchets, et de les laisser dans les ports même si cela a un coût financier important. Certains ont opté pour le bon choix (aucune pollution volontaire), alors que d’autres ne polluent pas ici mais ailleurs, ne soyons pas dupes.

Ceux qui n’ont pas opté pour le bon choix de ne plus polluer, lorsque ces derniers se fond prendre ils doivent payer le prix fort, le maximum autorisé par la loi. L’association MOR GLAZ condamne toute forme de pollution volontaire, cependant il faut noter que certains navires sont tellement mal entretenus, que la pollution est inévitable malgré toute la volonté des équipages. Si les moyens pour traquer les pollueurs étaient plus importants, l’association MOR GLAZ est convaincue qu’il y aurait bien plus d’infractions flagrantes de relevée  » constatée  » contre les océans.

En 2002 l’association MOR GLAZ demandait  » suggérait  » que l’encaissement des condamnations soit utilisé afin de financer des moyens supplémentaires pour lutter contre les pollueurs des mers.

Le Président de l’association MOR GLAZ

C/c : Premier Ministre, Madame Ségolène Royal, Secrétaire d’Etat aux Transports, Direction des Affaires Maritimes, Secrétariat Général à la Mer

L’association MOR GLAZ est satisfaite comme un grand nombre, que le chantier de réparation Brestois reçoive de plus en plus de navires et que l’activité reprenne malgré la crise mondiale de la construction et de la réparation navale.

L’association MOR GLAZ constate que nous avons depuis quelques temps dans le port de Brest tous les éléments pour effectuer un exercice comme en mars 2013, avec le  » CMA CGM MARCO POLO « .

Un tel exercice avec le  » EMMA MAERSK  » (398 mètres de long 56 mètres de large et 16 mètres de tirant d’eau) en ce moment en réparation à Brest permettrait de tirer certaines conclusions….les moyens de sauvetage pour un tel navire sont-ils suffisants par vents forts et une mer agitée ? et ainsi se rendre compte si les navires de ce type à remorquer sont suffisamment équipés pour faire face à des remorquages qui doivent être réalisés rapidement (dans l’urgence selon la position du navire).

Les points d’amarrages où sont capelées les pantoires résisteraient-ils et à quelle traction? résisteraient-ils à plus de 200 tonnes de traction ? ces navires sont-ils équipés de remorque de secours ?

Pour l’association MOR GLAZ, les armateurs sérieux (et il y en a) devraient être précurseurs et ne pas attendre la décision la préconisation de l’Organisation Maritime Internationale qui tarde, à imposer certaines mesures aux armateurs récalcitrants (et il y en a).

Il n’est pas utile d’attendre une catastrophe pour équiper les navires afin d’effectuer des prises de remorques rapides évitant des dérives trop longues « interminables  » mettant en danger les marins, les autres navires, l’environnement et la perte de biens !

La course effrénée au gigantisme des navires continue, cela obligera tôt ou tard les pays ou croisent ces géants à mettre en place des remorqueurs plus puissants que ceux existants à Boulogne, Cherbourg, Brest et Toulon, mais aussi à faire pression sur l’Organisation Maritime Internationale et l’Agence Européenne de Sécurité Maritime en évitant toutes ces réunionnites inutiles… il faut se décider rapidement.

En 2005, lors de la mise en service des remorqueurs Abeilles BOURBON et LIBERTE, les porte-conteneurs transportaient de 9 à 11 000 conteneurs, en 10 ans la capacité a doublé, les dangers eux ont été multipliés par 3 ou 4 …la prise au vent de ces navires étant dangereuse et interdisant certaines manœuvres, ainsi que la multiplication des produits dangereux transportés sur le même navire.

En 2012 16.000 Equivalent à Vingt Pieds (un EVP 38,5 mètres cube),

en 2013 18.000 EVP, en 2015 19.000 EVP,

en 2017 22.000 EVP…. et après ?

Ces géants de plus de 400 m de long, et de plus de 54 de large ne peuvent par vent de plus de 35 nœuds et mer formée être secourus par aucun des moyens nautiques existants en France et ailleurs dans le monde

.Pour l’association MOR GLAZ cette course au gigantisme est dangereuse  » mais elle existe « ,… donc les moyens de sauvetage doivent être renforcés  » appropriés  » partout en Europe et dans le monde.

L’association MOR GLAZ demande que l’Organisation Maritime Internationale et les assureurs de ces navires imposent aux armateurs d’équiper tous ces navires de ce que nous préconisons plus haut et du JLMD Écologic System.

Jean-Paul HELLEQUIN Président de l’association MOR GLAZ

c/c : Président de le République, Premier Ministre, Madame Ségolène Royal, Secrétaire d’Etat aux Transports, Direction des Affaires Maritimes, Secrétariat Général à la Mer

ABEILLE BOURBON remorque un chimiquier en panne de propulsion au large de la pointe du Raz ! Le 20 février 2016

L’équipage du chimiquier Turc après avoir essayé en vain de réparer sa panne de propulsion, a été mis en demeure de faire cesser tout danger.

L’association MOR GLAZ ne peut que saluer la décision prise par le Préfet Maritime de l’Atlantique.

Au moment de la mise en demeure, le navire se trouvait à 24 nautiques (44 kilomètres) à l’Ouest de la pointe du Raz, la mer était forte, et le navire dérivait vers l’Est.

Vers 17h00, l’Abeille Bourbon en alerte météorologique à Camaret s’est dirigée vers le navire en panne de propulsion. Le convoi est arrivé en rade de Brest le 21 février 2016 vers 1h30.

Ce navire appartient à l’Armateur Turc BESIKTAS SHIPPING GROUP qui possède 17 navires. Le BESIKTAS ORIENT a été inspecté en Suède en juin 2015 et ne présentait aucun problème

L’échouement du CSCL Indian Ocean dans l’Elbe (rivière qui mène au port de Hambourg) pose la problématique des géants des mers au large, à proximité des ports, et à quai…. Cet incident démontre que l’association MOR GLAZ avait raison d’être inquiète et vigilante par ces navires qui peuvent transporter jusqu’à 19.000 conteneurs (22.000 prochainement). Ces conteneurs transportent tous types de produits pas très bien définis ! Ces géants des mers sont là… nous devons  » pouvons  » les accepter mais pas forcément les subir…. L’Union Européenne, les Etats, L’Organisation Maritime Internationale, l’Agence Européenne de Sécurité Maritime doivent ensemble redéfinir, mettre en place des règles strictes pour faire face aux réels dangers que représentent ces navires.

Cet incident démontre que l’association MOR GLAZ avait raison d’être inquiète et vigilante par ces navires qui peuvent transporter jusqu’à 19.000 conteneurs (22.000 prochainement). Ces conteneurs transportent tous types de produits pas très bien définis !

Ces géants des mers sont là… nous devons  » pouvons «  les accepter mais pas forcément les subir….

L’Union Européenne, les Etats, L’Organisation Maritime Internationale, l’Agence Européenne de Sécurité Maritime doivent ensemble redéfinir, mettre en place des règles strictes pour faire face aux réels dangers que représentent ces navires.

En 2013 l’association MOR GLAZ préconisait  » suggérait  » des remorqueurs plus puissants (100 tonnes de puissance de traction) dans les ports qui reçoivent ces navires en escale… Plus de 250 tonnes de traction pour les remorqueurs de sauvetage, y compris pour couvrir le Golfe de Gascogne.

C’est pourquoi l’association MOR GLAZ préconise plus de moyens…

En 2005, lors de la mise en service des remorqueurs Abeilles BOURBON et LIBERTE, les porte-conteneurs transportaient de 9 à 11 000 conteneurs, en 10 ans la capacité a doublé, les dangers eux ont été multiplié par 3 ou 4 …la prise au vent de ces navires est dangereuse et interdit certaines manœuvres, la multiplication des produits dangereux transportés sur le même navire en est un autre ! En 2012 16.000 Equivalent à Vingt Pieds (un EVP 38,5 mètres cube), en 2013 18.000 EVP, en 2015 19.000 EVP, en 2017 22.000 EVP et après ? Il faut des remorqueurs supérieurs à la puissance des Abeilles BOURBON et LIBERTE (l’actualité de ces derniers jours sur l’Elbe nous donne raison).

L’association MOR GLAZ demande un redéploiement et un renforcement de la flotte de remorqueurs en France. Tous les navires marchands et notamment ces géants doivent être équipés d’un système de remorquage (voir sur le site) afin de pouvoir passer rapidement une remorque sans faire prendre des risques inutiles aux sauveteurs.

L’association MOR GLAZ demande que l’Organisation Maritime Internationale et les assureurs, imposent aux armateurs d’équiper certains navires de JLMD Écologic System (en lien sur le site).

Ubuesque comme comportement, après avoir tout fait pour recevoir ces géants en investissant des sommes considérables d’argent public, en ayant instauré une concurrence effrénée entre les ports, les mêmes milieux portuaires du nord de l’Europe rivalisent d’arguments pour diaboliser les grands porte-conteneurs. Certains même suggèrent de déplacer le danger en les envoyant dans d’autres ports (de Hambourg vers Wilhelmshaven) il aurait fallu y penser avant, les seuls moyens d’essayer de faire face aux dangers, écologiques, humains et économiques est d’essayé de tout prévoir en imposant les suggestions énumérées ci-dessus !

22 marins sauvés d’un navire en détresse dans le Golfe de Gascogne secourus par des hélicoptères espagnols le 26 janvier 2016. L’association MOR GLAZ salue les sauveteurs. L’association MOR GLAZ salue la réactivité du Préfet Maritime.

Le « MODERN EXPRESS » immatriculé au Panama, ce navire de type roulier et d’une longueur de 164 mètres se situait dans le Golfe de Gascogne et dans la zone économique exclusive française au moment de l’abandon du navire.

En provenance du Gabon, le navire faisait route vers le port du Havre et se trouvait à la verticale au nord de la Corogne (Espagne) à hauteur de La Rochelle.

Le « MODERN EXPRESS «  transporte 3.600 tonnes de bois débité en fardeaux et des engins de travaux public.

le  » MODERN EXPRESS  » avait pris une très forte gîte  » 40 degrés  » pour une raison encore indéterminée et constituait un véritable danger pour la navigation dans cette zone maritime fréquentée par tous types de navires.

Le Préfet Maritime de l’Atlantique « avait mis en demeure l’armateur du navire de faire cesser le danger » avant ce jeudi matin. Pour l’association MOR GLAZ ce délai est trop long, car le navire est abandonné et donc livré à lui-même, ce type de navire peut chavirer rapidement selon les causes de sa gîte, sombrer et donc polluer.

L’association MOR GLAZ constate par ailleurs que le remorqueur Espagnol le  » DON INDA  » n’a pas participé au sauvetage d’un navire qui se trouvait dans sa zone, le plan Biscaye ne serait-il pas aussi efficace qu’il nous l’est présenté, la France ne pourrait-elle compter que sur ses moyens ?

L’association MOR GLAZ revendique plus que jamais un remorqueur de haute mer Français à plein temps dans le Golfe de Gascogne.

Même si nous constatons que les moyens mis à la disposition des Préfets Maritimes sont de mieux en mieux utilisés, nous demandons plus de moyens nautiques et des  » REMORQUEURS  » plus puissants, ayant plus de force de traction.

Lors du dernier coup de vent, le cargo  » BUSE TRIO  » battant pavillon Panaméen, appartenant à un armateur Turc était resté mouillé plusieurs jours en baie de Douarnenez, surveillé par le remorqueur ABEILLE BOURBON,

L’association MOR GLAZ après un certain scepticisme sur la solvabilité et le sérieux de l’armateur, doute désormais d’un proche départ du cargo  » BUSE TRIO « .

Les arriérés des salaires représentent à ce jour environ 15 900 dollars pour deux Marins Indiens et six Marins Turcs. L’association MOR GLAZ demande aux autorités de ne pas entrer dans un poker menteur avec cet armateur Turc, trop de Marins dans le monde sont victimes de ces  » pseudo-armateurs  » menteurs.

Certains Marins ne voient jamais leurs salaires après avoir navigué durant des mois. Ces situations existent de plus en plus, les Marins en sont toujours les victimes, alors réfléchissons ensemble et unissons nos efforts pour rendre meilleure les conditions de vie les Marins du Monde.

L’association MOR GLAZ demande au Centre de Sécurité des Navires de Brest et aux autorités portuaires de bloquer le navire tant que ces Marins n’auront pas perçu la totalité de leurs salaires.

L’association MOR GLAZ très sceptique sur la qualité du cargo  » BUSE TRIO  » remorqué ce 13 janvier 2016 vers le port de Brest, et sur le respect de la Maritime Labour Convention 2006.

Le cargo  » BUSE TRIO  » battant pavillon Panaméen appartenant à un armateur Turc qui est resté mouillé plusieurs jours en baie de Douarnenez, surveillé par le remorqueur ABEILLE BOURBON. Ce mouillage a fait l’objet de quelques critiques de la part de  » L’association Observatoire du Littoral des Iles et de la Mer d’Iroise  » elle se dit surprise de la décision des autorités maritimes d’avoir accordé un poste de mouillage à un cargo en panne de propulsion en fond de baie de Douarnenez, notamment dans sa partie Est, alors qu’un vent fort de Noroît soufflait sur la pointe du Finistère.

Pourquoi ce navire n’est-il pas rentré directement sur Brest : l’association MOR GLAZ croit quant à elle avoir la réponse. Il fallait au port de Brest, à la Région, à l’Agent maritime, et aux autorités des garanties financières au cas où l’armateur ne serait pas solvable.

Nous savons par plusieurs sources fiables, que certains marins du bord auraient des arriérés de salaire et que le navire serait limite pour naviguer en toute sécurité pour les marins du bord et pour l’environnement.

Encore un navire qui passe régulièrement entre les mailles de la sécurité, sauf que cette fois l’escale est un peu forcée et qu’elle va  » pourrait  » se compliquer pour l’armateur.

L’association MOR GLAZ demande que tous les marins soient payés rapidement,  avant même que commence les réparations, et que le navire soit remis en parfait étatavant son départ…. si cela est encore possible.

Ces clichés sont explicites, des pêcheurs situés sur l’île de Cat Ba dans la baie de Halong au nord du Vietnam, les chalutiers rentrent pour s’abriter du coup de tabac annoncé. Sur certains clichés nous observerons les conditions de logement sur ces navires, ainsi nous pouvons imaginer les conditions de vie de ces marins Vietnamiens. Dans la même zone il y a 1000 autorisations d’exploitations de fermes aquacoles, en réalité on en compte 3000….. imaginons la pollution, et les conditions de vie et d’hygiène pour les populations !!! AL-G