Les Membres du Bureaux de l’Association MOR GLAZ vous souhaitent une très belle traversée 2024. Nous vous souhaitons la plus belle traversée, plutôt sur des Mers calmes et non polluées. Une pensée toute particulière pour celles et ceux qui vont franchir la vague 2023/2024 sans leurs proches !

Durant 2023 l’Association n’est pas restée amarrée le long d’un quai ou au mouillage ! Nous avons essayé au mieux d’escorter les Marins du Monde qui nous ont lancé La TOULINE ou pis encore envoyé un Mayday Mayday !

Les conflits entre les Peuples fragilisent la navigation, compliquent la vie des Marins, de tous les Marins. Il faut reprendre sérieusement la barre et éviter de laisser sombrer le navire en instaurant une paix durable à Terre et en Mer.

Même si parfois certains pouvaient penser que l’Association MOR GLAZ  provoque, agace, nous continuerons de saisir la main tendue par celles et ceux qui nous demanderons de l’aide !

Nous remercions notre partenaire  les Chantiers PIRIOU de Concarneau, le Photographe Charles Marion qui nous a offert la Photographie d’Ar Men,

les Personnalités qui ont accepté de dédicacer la carte de vœux 2024, Clarisse Lavanant Auteure-Compositrice-Interprète Française, Dan-Ar-Braz Auteur-CompositeurInterprèteGuitariste Français, Louis Cozan ancien Gardien de phare en Iroise,

Christian Buchet de l’Académie de Marine. Directeur du Centre d’Etudes de la Mer de l’Institut Catholique de Paris.

Merci à l’Imprimerie Marcel Tanguy de Pont-l’Abbé pour le travail effectué !

Pour l’Association MOR GLAZ   Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

Remorqueurs. Les Abeilles cedées à un fonds de pension ? Dans une question publiée au Journal officiel, le 21 décembre 2023, le sénateur finistérien Philippe Paul interroge Hervé Berville, secrétaire d’État chargé de la Mer, au sujet d’une possible cession des remorqueurs Abeille à un fonds de pension. Une information qu’il tient de la CGT des marins et de l’association Mor Glaz.

Les mythiques remorqueurs de sauvetage pourraient être vendus à un fonds de pension. Le sénateur finistérien Philippe Paul interpelle Hervé Berville, secrétaire d’État chargé de la mer, sur le sujet. | Ouest-France Marion GONIDEC. Publié le 22/12/2023 à 14h43 Newsletter La Matinale

Chaque matin, l’actualité du jour sélectionnée par Ouest-France

Les rumeurs enflent sur la possible cession des remorqueurs de haute-mer Abeilles, propriété depuis 2020 du groupe Econocom, à un fonds de pension. Dans une question publiée au Journal officiel, le 21 décembre 2023, le sénateur finistérien Philippe Paul a souhaité interroger Hervé Berville, secrétaire d’État chargé de la Mer au sujet du devenir de la société Abeille International, qui exploite quatre remorqueurs de haute mer, dont l’Abeille Bourbon (Brest).

Alerté par la CGT des Marins « J’ai été alerté par différents moyens, en particulier la CGT des marins et le président de l’association Mor Glaz, Jean-Paul Hellequin », confie Phillipe Paul. « Qu’en est-il exactement ? L’État entend-il prendre la main ? Car pour le moment, on sait simplement qu’un fonds de pension étranger serait intéressé », développe le sénateur. Jean-Paul Hellequin, syndicaliste et président de Mor Glaz, est un ancien des Abeilles, il a navigué pendant plus de 27 ans. « Nous avons déjà failli être vendus à un fonds de pension en 1990, ce que nous avions réussi à éviter de justesse. Les Abeilles, à l’époque, avaient été rachetées par le groupe G7, des taxis parisiens », rappelle Jean-Paul Hellequin, qui confirme que plusieurs fonds de pension se sont montrés intéressés récemment pour racheter la société Abeille International. « Je ne souhaite surtout pas que les Abeilles soient rachetées par un fonds de pension. Surtout, surtout, que les Abeilles soient rachetées par un armateur français. Faisons attention qu’elles ne soient pas rachetées par n’importe qui, dans n’importe quelles conditions. J’ai beaucoup lutté pour que les Abeilles fassent leurs missions avec des marins confirmés et que la Marine Nationale puisse avoir une totale confiance en nous. Si demain, il s’agit d’un fonds de pension, les intérêts ne sont pas les mêmes, au vu des exigences très rapides de rentabilité », développe Jean-Paul Hellequin.

Allons-nous vers un abandon de Marins, d’un navire poubelle voire des deux au large de Lorient en France dans le Morbihan ?

 

Une situation « UBUESQUE » et « HONTEUSE » pour l’Association MOR GLAZ, une situation qui malheureusement pour les Marins et l’Environnement n’est pas isolée.

Allons-nous vers un abandon de Marins, d’un navire poubelle voire des deux au large de Lorient en France dans le Morbihan ?

Le navire « SKY III » que certains Marins embarqués nomment navire dangereux ne veulent pas reprendre la Mer, et pourtant ces pauvres Marins en acceptent des conditions lamentables et honteuses ! L’Association MOR GLAZ dénonce cette situation encore une !

Ce « navire » construit en 1966 a changé plusieurs fois de pavillon, il bat depuis peu celui de la « TANZANIE » qui figure au (58ème rang sur les 66 immatriculations recensées). Le « pseudo-armateur » est Turc, l’Equipage est composé de 9 Marins de 7 nationalités) Chypriote, Roumaine, Grecque, Birmane, Finlandaise, Géorgienne et Syrienne.

D’après nos informations, le navire vient de « ROTTERDAM » port dans lequel il a été détenu 8 mois ! Il faisait route vers « CHYPRE » afin d’effectuer quelques réparations. Plusieurs des Marins jugent que le navire est trop dangereux pour effectuer un tel voyage. Ils veulent débarqués et être payés, les arriérés de salaires sont considérables, car aucun salaire perçu depuis le début de leur contrat !

Le navire est en avarie et donc au mouillage près de l’île de Groix.

La seule machine qui fonctionne, permettrait au navire de naviguer à la vitesse de 6 nœuds par Mer calme, les Marins ne pensent pas pouvoir compter sur ce vieux moteur usé et défaillant !

Le navire est un tas de rouille « – il est trop dangereux de repartir avec ce navire en Mer, il risquerait de casser en cas de tempête » !

La nourriture et l’eau sont restreintes pour l’Equipage

Les Equipements de Sécurité chaussures et autres sont  hors d’usage .

Les odeurs d’huile et de fioul sont insupportables

La demande des Marins est simple et justifiée –«  la demande du paiement  des salaires et le rapatriement le plus rapidement possible, les Marins ne veulent pas continuer de naviguer sur cette épave, un danger pour eux et pour la Mer » !

L’Association MOR GLAZ demande aux Administrations et Ministères concernés de ne pas laisser appareiller cet engin flottant et d’organiser le rapatriement des Marins !

Pour l’Association MOR GLAZ     Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

Retour à Brest de l’Abeille Flandre : ils se souviennent des grands moments du remorqueur Article réservé aux abonnés Par Stéphane Jézéquel Le 29 septembre 2022 à 17h49

L’Abeille Flandre revient à Brest, vendredi 29 septembre, pour y être déconstruit. Ceux qui ont œuvré à bord du remorqueur emblématique ou côtoyé ses marins se souviennent.

Acteur incontournable de la sécurité dans le rail d’Ouessant pendant 25 ans, le remorqueur Abeille Flandre revient à Brest vendredi 30 septembre en vue de sa déconstruction. (Photo d’archive Eugène Le Droff)

L’Abeille Flandre revient ce vendredi 29 septembre à Brest, après un dernier voyage depuis Toulon. Pendant 25 ans, le remorqueur a assuré la sécurité du rail d’Ouessant. Beaucoup auront la gorge serrée, ce vendredi matin, quai Malbert, et se remémoreront les grands moments.

À lire sur le sujet L’emblématique remorqueur Abeille Flandre va être déconstruit à Brest

Jean Bulot, capitaine emblématique

Pour le charismatique capitaine de l’Abeille Flandre, Jean Bulot, difficile de choisir un souvenir précis du bateau. « Il y a quand même la nuit où nous nous sommes portés à la hauteur de l’Alcor, un chalutier pêche arrière de Concarneau malmené dans des creux de plus de 15 m et force 12 à l’anémomètre. On a été bien secoués cette nuit-là, mais ce n’était rien à côté des marins qui étaient restés à bord et qu’on a ramenés à bon port à Brest. » Il se souvient : « J’avais des gars extraordinaires qui ne rechignaient jamais. Je les revois régulièrement batailler sur la plage arrière. Des images qu’on n’oublie pas ».

Jean Bulot a longtemps été capitaine de l’Abeille Flandre. (COR/Le Télégramme)

À lire sur le sujet Marins dans la tempête en pays de Brest : Jean Bulot, force 12 au large d’Ouessant

 

Jean-Paul Hellequin, LE cuisinier de Landerneau

Jean-Paul Hellequin, syndicaliste et président de l’association Mor Glaz, est indissociable de l’histoire du remorqueur. Il animait « l’une des plus belles tables de Brest ! », disent encore les marins sur le port. Olivier de Kersauson ou Hervé Hamon peuvent attester qu’on mangeait plus que correctement à bord de la Flandre. Il fallait surtout soigner l’équipage toujours affamé dans le très gros temps. En véritable artiste des chaudrons, Jean-Paul Hellequin a joué de ses gamelles qu’il laissait mijoter par force 12 ! L’accueil des familles et des dizaines de milliers de visiteurs, au cours des portes ouvertes, a inscrit le navire dans le paysage brestois.

Jean-Paul Hellequin. (Photo archives Le Télégramme)

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Thierry Le Cerf, nettoyeur de machine devenu pilote de ligne

La Flandre a forgé des destins incroyables. Thierry Le Cerf embarque sur la Flandre à à peine 18 ans comme nettoyeur à la machine, au plus bas de l’échelle. Il passe second mécanicien avant de quitter les Abeilles pour devenir… pilote chez Air France ! « L’un de mes commandants de l’époque sur la Flandre nous avait raconté son expérience de pilote. Je suis devenu commandant de bord sur moyen et long courrier. »

Thierry Le Cerf, de l’Abeille Flandre à Air France (Photo Thierry Le Cerf)

À lire sur le sujetThierry Le Cerf : de nettoyeur machine sur l’Abeille Flandre à pilote chez Air France

 

Bernard Perrot, LE bosco de Portsall 

Parmi les boscos qui ont marqué l’histoire des Abeilles, il y a le Portsallais Bernard Perrot, bien sûr ! Pas du genre à se mettre en avant, celui qui a officié dix ans à bord de ce remorqueur se souvient de « branlées mémorables » dans une ambiance d’équipage inoubliable. Il regrette que ce « bon navire, très bien construit » parte à la casse. « C’est dommage, son moteur doit encore tourner comme une horloge ! » Celui qui a officié comme bosco pendant une quinzaine d’années sur les Abeilles (la Languedoc et la Provence également) n’oubliera pas les copains bondissant sur le pont, entre deux déferlantes…

Hervé Hamon, l’écrivain résidant

Le commandant Charles Claden l’appelait à Paris : « Demain, va y avoir du temps pour toi ! ». Hervé Hamon sautait dans l’avion pour Guipavas puis pour Ouessant et rejoignait La Flandre. Entre 1997 et 1999, l’écrivain a multiplié les embarquements dans la tempête pour raconter la vie des équipages, la mer déchaînée, les manœuvres millimétrées. « 18 m de creux devant l’île Keller, face à Ouessant, ça ne s’oublie pas. » Le visage des marins, « des artistes dans leur domaine », non plus. « Beaucoup nous ont quittés. C’est surtout à eux que je pense aujourd’hui. »

À lire sur le sujet[Courant d’ère] À quoi servent les écrivains ?

 

Christian Munier, ancien directeur général des Abeilles

« C’est le remorqueur sur lequel nous avons, de loin, le plus communiqué ! Il a fait connaître au grand public le métier des Abeilles avec la phrase qui l’a rendu célèbre : « Le bateau qui sort quand les autres rentrent ». C’est véritablement le bateau qui a matérialisé le désir de protection des côtes et du littoral français. Les équipages ont été remarquables, sous la direction de deux commandants qui ont marqué de leur empreinte ce bateau. Jean Bulot et Charles Claden, dans deux styles radicalement différents, mais les deux avec une redoutable efficacité. »

 

À lire sur le sujetCharles Claden. Vie de tempêtes

 

Jean-Jacques Augier, ancien président des Abeilles de 1991 à 1996

« C’était toujours un plaisir de venir à Brest rencontrer l’équipage. Je n’ai jamais participé au moindre remorquage mais passé d’excellents moments à quai. Jamais mangé de plateaux de fruits de mer ni d’huîtres aussi délicieuses que sur l’Abeille ! Le commandant Bulot a clairement renforcé le côté emblématique des Abeilles. C’était la noblesse du métier, un sens aigu de responsabilité et d’efficacité sur l’eau, avec des équipages qui savaient se préparer et gérer au mieux les temps faibles, à quai, pour donner le maximum le jour J. »

 

Laurent Mérer, préfet maritime de l’Atlantique de 2004 à 2006

« Ma première prise de contact opérationnelle avec la Flandre remonte au 30 octobre 2001 autour du naufrage du Ievoli Sun. » Alors préfet maritime de la Manche, il travaille pour la première fois aux côtés de Charles Claden qui commande le remorqueur. Alors qu’il est nommé préfet maritime de l’Atlantique en 2004, Laurent Mérer dispose de cet outil exceptionnel pour régler les situations urgentes autour du rail d’Ouessant. « C’est un outil formidable pour le préfet maritime, avec un délai d’appareillage minimum, des équipages entraînés et spécialement dédiés au remorquage, des gars vraiment talentueux… Une assurance et un navire emblématique indéniables ! »

Laurent Mérer, préfet maritime de l’Atlantique de 2004 à 2006. (L. Mérer)

Le dimanche 29 janvier 2023, l’Association MOR GLAZ lançait un MAYDAY auprès de ses Adhérents et des responsables gouvernementaux afin que tout soit mis en œuvre pour monter à bord du voilier le « KESAKO » ! Qu’en est-il,  où en sont les initiatives prises, envisagées  par la 6ème  puissance mondiale pour investiguer la coque à la dérive depuis trop longtemps, quels moyens mis en place, quelle volonté ? Nous nous en occupons ne nous suffit pas !

le 29 janvier 2023

Si la position communiquée le 8 février 2023 est exacte : 17°6’54.2’ Nord  162°34’00.1’ Est la coque du navire est à la dérive aux alentours des îles Marshall soit à 390 Milles Nautiques au Nord de (Bikini Atoll) la terre la plus proche.

Les autres terres sont plus éloignées 1600 Milles Nautiques pour le Japon et 2200 Milles Nautiques pour la Nouvelle Calédonie. La Région était-elle fréquentée, des navires ont-ils été sollicités ?

Lorsque Joël surnommé « Félix » sur l’île d’Ouessant largue les amarres de son île natale le 1er juin 2019 pour un voyage bien préparé « un rêve », il ne pensait certainement pas  qu’il mobiliserait autant, pour l’Association MOR GLAZ, il s’agit de l’un des nôtres, Navigant aux services des Phares et Balises Joël était un inscrit Maritime pensionné de l’Etablissement National des Invalides de la Marine (ENIM). L’Association MOR GLAZ souhaite « veut »  que tout soit mis en œuvre afin de connaître la fin tragique de ce Marin confirmé d’après de ses Amis !

Pour l’Association MOR GLAZ, la France « 6ème puissance Mondiale » doit obtenir des pays riverains, de faire inspecter au plus tôt le navire afin de savoir si le corps de Joël est toujours à bord, et relever d’autres indices. La Famille veut savoir, la Communauté Maritime aussi il y a quelques jours, des membres de la Famille nous déclaraient  -« nous voulons savoir, nous sommes fatigués, son journal de bord qu’il tenait à jour nous en dira peut-être davantage ».

–«L’Association MOR GLAZ quant à elle ne veut surtout pas attendre les bras ballants, nous voulons des réponses sur ce qui serait et sera mis en place » !

L’Association MOR GLAZ sollicite une nouvelle fois, ses Adhérents les mieux placés pour obliger des démarches d’intervention par l’Etat Français auprès des  Etats riverains.

Joël, ancien navigant du service des Phares et Balises de Brest a lui-même éclairé durant des décennies la route de tant et tant de Marins par son activité professionnelle.  L’Association MOR GLAZ assure de nouveau tous les proches de Joël LANILIS de sa pleine et entière solidarité. Nous allons une nouvelle fois activer notre carnet d’adresse, la Famille, les Amis et la communauté des Gens de Mer doivent obtenir que la France active elle aussi ses leviers ! Quand on peut on doit me disait l’une de nos Adhérentes il y a quelques temps !  

Pour l’Association MOR GLAZ       Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

C/C : Aux Administrations et Ministères concernés

Depuis quelques jours, la Famille de Joël LANILIS est sans nouvelles de ce Marin passionné qui a entrepris un tour du Monde à bord de son voilier de 12 mètres de type « CENTURION 38 » le « KESAKO ».  La coque de ce navire est à la dérive aux alentours des îles Marshall depuis plusieurs jours.

Le voilier de Joël Lanilis, le Kézako, pendant son tour du monde

Joël surnommé « Félix » sur l’île d’Ouessant a largué les amarres de son île natale le 1er juin 2019 pour un voyage qu’il a organisé avec passion.

C’est une bien triste histoire de Marin qui nous affecte particulièrement. Joël, Ouessantin, Marin confirmé, ancien employé des Phares et Balises, l’un des nôtres sera-t-il retrouvé un jour ? L’Association MOR GLAZ souhaite que tout soit mis en œuvre afin de retrouver son corps.

Pour l’Association MOR GLAZ, la France « 6ème puissance Mondiale » doit obtenir des pays riverains qu’un sauveteur inspecte au plus tôt le navire afin de savoir si le corps de Joël est toujours présent à bord.

Un membre de sa Famille nous déclarait ce 28 janvier 2023 : « nous voulons savoir, nous sommes fatigués, je prends le relais, son journal de bord qu’il tenait à jour nous en dira peut-être davantage ».

Au moment du départ, Joël déclarait : « pas d’inquiétude, je sais où je vais ». C’était un Marin confirmé et prudent, alors que s’est-il passé ? Nous voulons tous savoir.

L’Association MOR GLAZ sollicite ses Adhérents les mieux placés pour soutenir toute démarche de demande d’intervention par l’Etat Français aux Etats riverains de la zone de découverte du « KESAKO » et répondre ainsi aux attentes de la Famille qui souhaite savoir et comprendre.

Le voilier de Joël Lanilis, le Kézako, pendant son tour du monde

La disparition d’un Marin est toujours une tragédie. Joël, ancien navigant du service des Phares et Balises de Brest a lui-même participé  par son activité professionnelle à la sécurité du monde maritime et de nombreux Marins.

L’Association MOR GLAZ assure tous les proches de Joël LANILIS de sa pleine et entière solidarité. Nous allons activer notre carnet d’adresse, la Famille, les Amis et la communauté des Gens de Mer doivent obtenir que la France active elle aussi ses leviers !!!

Pour l’Association MOR GLAZ       Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

C/c : Aux Administrations et Ministères concernés

Réponse à la Préfecture Maritime au sujet de la décision de faire sortir le canot de la SNSM du Guilvinec à 50 milles nautiques…..

Suite aux articles de presse concernant le remorquage du chalutier « MEN BRIAL » par le canot Société Nationale de Sauvetage en Mer  « MEN MEUR » du Guilvinec le 29 Décembre 2022, l’Association MOR GLAZ  a souhaité répondre à la Préfecture Maritime de l’Atlantique qui déclare dans la presse que –« dans le cadre de la sauvegarde de vie humaine, le bateau peut dépasser les 20 milles, et c’est ainsi que l’opération a été classée ». Une réponse que l’Association MOR GLAZ conteste  et qui n’apparaît nullement dans l’Arrêté relatif à la sécurité des navires, y compris pour les canots SNSM. N’en déplaise au service de communication de la Préfecture Maritime : Les permis de navigation ne sont pas « élastiques » et doivent être respectés par les professionnels de la Mer.

Deuxième observation  et c’est le patron du « MEN BRIAL »  qui le déclare dans la presse, son navire était simplement en panne de moteur et demandait  l’assistance d’un navire pour le remorquer au port du Guilvinec, de ce fait nous n’étions pas dans une mission urgente de sauvegarde de la vie humaine.

Troisième observation à la date du 29 Décembre 2022, aucun communiqué ne figure sur le site internet de la Préfecture Maritime de l’Atlantique  concernant le chalutier « MEN BRIAL » en panne à 50 milles dans le large de Penmarc’h. Aucun signal PAN PAN entendu en mer d’Iroise ! Un silence sur lequel s’interroge toujours MOR GLAZ et qui reflète tout au moins ce jour-là un certain manque de professionnalisme de la part de personnes en charge de la sauvegarde de la vie humaine en Mer,  de la protection du littoral et de l’environnement.

Par ailleurs, l’Association MOR GLAZ tient à rappeler si cela était encore nécessaire, que nous sommes de fervents défenseurs des Marins y compris des Marins Pêcheurs, il suffit pour cela de consulter notre site !  Comment ne pourrions-nous pas être admiratifs des Canotiers de la Société Nationale de  Sauvetage en Mer !

Pour l’Association MOR GLAZ      Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

Le porte-conteneurs « TM CARTAGENA EXPRESS » est toujours au mouillage en baie de Douarnenez (endroit refuge défendu par l’Association MOR GLAZ et confirmé par les Autorités après le naufrage du pétrolier « ERIKA »  qui a démontré durant ces derniers jours sa grande utilité durant ces derniers 40 jours).

Le porte-conteneurs « TM CARTAGENA EXPRESS » est toujours au mouillage en baie de Douarnenez (endroit refuge défendu par l’Association MOR GLAZ et confirmé par les Autorités après le naufrage du pétrolier « ERIKA »  qui a démontré durant ces derniers jours sa grande utilité durant ces derniers 40 jours.

Ce remorquage, ce sauvetage  du « TM CARTAGENA EXPRESS » par le Remorqueur « ABEILLE BOURBON » est pour mémoire l’opération ayant remorqué le plus grand porte-conteneurs (hors exercices)

Le dimanche 27 novembre, à 15h56, le porte-conteneurs «CARTAGENA EXPRESS » à 50 miles nautiques au large de Ouessant informe le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) Corsen d’une avarie moteur et demande assistance, responsabilité du Capitane à saluer ! L’Association MOR GLAZ constate le professionnalisme du Capitaine et sa réactivité !

Tous les Services de l’Action de l’Etat en Mer (AEM) en alerte : vue les conditions météorologiques sur zone et par mesure de précaution, le Centre des Opérations de la Marine en Atlantique à Brest et le (CROSS) Corsen prennent la décision d’hélitreuiller à bord une Équipe d’Évaluation et d’Intervention de la Marine Nationale depuis un hélicoptère Caïman de la flottille 33F de la base aéronavale de Lanvéoc-Poulmic pour s’assurer de la stabilité de la cargaison, une inquiétude légitime.

Le Remorqueur d’Intervention, d’Assistance et de Sauvetage (RIAS) « ABEILLE BOURBON » arrive sur zone le 27 novembre à 21h42 et débute le remorquage à 22h16. Le convoi arrive au point de mouillage en baie de Douarnenez le lundi 28 novembre à 22h07. Ce navire de 333 mètres de long transporte 65.000 tonnes de marchandises conteneurisées, dont d’après nos sources 2200 tonnes de produits dangereux. Le « CARTAGENA EXTRESS » bat pavillon Allemand et est armé par 27 Marins.

Depuis quelques jours, il y a des discutions avec l’Armateur  sur l’éventualité de faire réparer le navire dans le port de Brest. L’Association MOR GLAZ verrait cela d’un bon œil pour le port et tous ses « ces » Professionnels. L’Association MOR GLAZ défend depuis des années le port de Brest, l’arrêt technique du « CARTAGENA EXPRESS » montrerait le résultat des engagements du port.

Pour L’Association MOR GLAZ         Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

Les Associations MOR GLAZ et du Remorquage, sont satisfaites et approuvent la décision de ne pas laisser partir ce dimanche 6 novembre 2022 les navires participants à la course de la route du Rhum ! Les Skippers bousculés certes, mais des vies et du matériel peut être sauvés la Mer n’est ni un « linceul », ni un « dépotoir » ! Bravo Messieurs votre décision elle est sage et respectable.

photo : reproduction interdite

Il aurait été certainement maladroit voire même inconscient de  laisser ces Femmes et ces Hommes affronter la Mer, celle qui gagne souvent.

Les conditions météorologiques en ce moment, sont suffisamment difficiles pour les Marins qui sont en Mer pour des raisons professionnelles, ayons pour eux une pensée.

Retarder un évènement nautique y compris pour une traversée et une course mythique, n’est pas aussi grave, regardons un peu autour de nous. Cette fois la Sécurité Maritime  aura eu raison sur le pouvoir de l’argent et des partenaires financiers !

en 2011, Jean Galfione  s’était déplacé à Brest pour rencontrer l’Association MOR GLAZ…..

photo : reproduction interdite

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Les Associations MOR GLAZ et du Remorquage saluent la sagesse, la seule bonne décision était de retarder le départ.

photo : reproduction interdite

La Mer est dangereuse, elle est la plus forte, nous le savons nous les Marins, ne pas mettre en danger les Marins (Femmes et Hommes) est simplement la décision qu’il fallait prendre. Ces Marins naviguent pour le plaisir, et pour faire progresser la sécurité, les matériaux innovants, la démarche ne doit pas se retourner contre eux, ni contre les Industriels qui investissent dans ces évènements.

Choisir de laisser partir ces concurrents aurait été une erreur, ne faisons pas d’un tel évènement un drame de la Mer un de plus qui pourrait endeuiller des Familles, des Amis et la communauté Maritime !

Il faut aussi avoir un respect pour celles et ceux qui veillent sur les Marins tout au long de l’année, les Sauveteurs et aux moyens Civils et Militaires (insuffisants)  qui auraient dû être mobilisés être mis en veille sur un seul évènement.

Lorsque le coup de canon du départ sera donné, que le meilleur Marin l’emporte, celui qui aura trouvé la meilleure stratégie, et bonne Mer pour  tous les concurrents Femmes et Hommes.

Un vrai sujet  devrait faire l’objet de discussions comment est-ce possible de naviguer sans être couvert par une assurance ?

Pour les Associations précitées     Le Président  Jean-Paul HELLEQUIN

Objet : la Sécurité Passive Embarquée une solution rassurante et Ecologique ! 

 

Le 29 août 2022 un navire au mouillage dans la baie « des catalans » au large du port de Gibraltar se faisait « abordé ». La collision s’est produite entre le navire vraquier « OS 35 »chargé de barres d’acier,

 

et le méthanier  « ADAM LNG 

L’Association MOR GLAZ espère que l’enquête déterminera dans la plus grande transparence et impartialité  les responsabilités de chacun.

L’Association MOR GLAZ  satisfaite par aucun accident corporel , les Marins étant déjà très exposés en ces périodes !

Le vraquier « OS 35 » battant pavillon de Tuvalu  est la propriété de l’Armement Grecque  « Oldstone Cargo », qui se rendait au port de Vlissengen aux Pays-Bas, il naviguait  dans la baie lorsqu’il a heurté le méthanier « ADAM LNG » battant pavillon des Îles Marshall

propriété de l’Armement Oman Ship Management et exploité par sa filiale Asyad Shipping. Ce dernier, était au mouillage, dans la baie du port de Gibraltar quand il a été percuté.

L’Association MOR GLAZ rappelle qu’au mouillage toutes les règles de sécurité doivent-être rigoureusement respectées et notamment la vieille en passerelle, pour  sa propre sécurité et celle des autres navires. Un navire au mouillage ,  un risque pas suffisamment pris au sérieux.

Après cette collision, des moyens nautiques, barrages flottants et autres spécialistes ont rejoint la zone. Le « OS 35 » ayant « déclaré » à son bord  215 t de fioul lourd, 250 t de diesel et 27 t d’huile, échoué à 200 mètres du rivage, il est dangereux pour l’Environnement, et l’Homme !

Les titres et les commentaires médiatiques vont bon train, ils sont toujours les mêmes.

-« Gibraltar craint une « catastrophe environnementale » après une collision entre deux navires ».

-« Gibraltar une possible « catastrophe environnementale ». –« La peur d’un nouveau Prestige » etc…..

Pour l’Association MOR GLAZ la priorité est de minimiser tout impact sur l’Homme,  l’Environnement et autres …des moyens de préventions existent et devraient équiper tous les navires, les Assureurs, Affréteurs, Courtiers, Organisations Internationales, et tous les Acteurs du secteur Maritime devraient imposer « s’imposer » la Sécurité Passive Embarquée. Il faudrait dès la construction d’un navire l’équiper du  FOR System JLMD, dispositif de récupération des hydrocarbures contenus dans les soutes des navires.

Cette technologie conçue par la société française JLMD, est une Sécurité Passive Embarquée défendue par l’Association MOR GLAZ depuis quasiment 20 ans. Un équipement de Sécurité destiné à éviter les marées noires. -« En adoptant ces Systèmes de Sécurité Passive Embarquée, certains Armateurs confirment leurs intérêts pour les technologies vertes les plus avancées ». Louis Dreyfus Armateurs, CMA CGM et quelques autres. Ces Armateurs se prémunissent  efficacement contre le risque de marée noire, mais, surtout ils se démarquent de la concurrence et des « pseudo-armateurs » encore trop présents dans les activités Maritimes.

 Pour l’Association MOR GLAZ   Le Président Jean-Paul HELLEQUIN