Le BELOUGA qui errait en Seine est mort depuis quelques jours, nous sommes forcément tristes, mais tous ces efforts et autres déploiements étaient-ils nécessaires, personne ne le saura jamais ! La vraie question, ce BELOUGA pouvait-il survivre hors de son milieu naturel ?
L’Association MOR GLAZ salue la douloureuse décision prise par le Sous-Préfet de Lisieux Monsieur Guillaume LERICOLAIS et ses Equipes de l’euthanasier et ainsi de mettre fin à ses « ces » souffrances inutiles, faut-il lors de ces situations être toujours aussi obstiné, nous en doutons, des images certes spectaculaires mais inutiles !
Pour l’Association MOR GLAZ nous ne sommes pas certains que l’animal ait souhaité « opté » pour toutes ces tentatives et mobilisations ! Tous ces moyens déployés durant 10 longues journées pour tenter de vouloir à tout prix sauver ce cétacé, les vétérinaires, et autres amoureux des animaux et de la nature !
-« La souffrance était évidente pour l’animal, il ventilait insuffisamment. Nous avons décidé qu’il n’était pas pertinent de le relâcher et donc il fallait procéder à son euthanasie », explique Ollivet COURTOIS, vétérinaire des pompiers de l’Essonne.
L’Association MOR GLAZ souhaite que la nécropsie qui est réalisée puisse enrichir nos connaissances sur ces mammifères et sur les causes réelles de la mort de celui-ci.
Nous vous invitons dès à présent à lire un interview dans « LE TELEGRAMME » de Brest de Monsieur Sami HASSANI spécialiste des mammifères marins à Océanopolis à Brest et Directeur de l’Association pour la Conservation des mammifères et oiseaux marins de Bretagne.
Pour l’Association MOR GLAZ Le Président Jean-Paul HELLEQUIN