Le 6 octobre 2015, survenait au large de Zeebrugge une collision entre deux navires, un cargo battant pavillon néerlandais le  » FLINTERSTAR  » et un méthanier battant pavillon des Iles Marshall le  » AL ORAIQ « . Le cargo sous le choc a coulé et plus de 200 tonnes de mazout sont partis à la mer, polluant d’après nos informations jusque la plage de Malo les Bains.

Depuis plus de 12 ans, l’association MOR GLAZ défend et préconise un système innovant, simple et peu onéreux à installer, sur tous les navires civils et militaires pour remonter les soutes des navires lorsqu’ils rencontrent des difficultés comme celles du  » FLINTERSTAR « .

Il s’agit du JLMD Ecologic System qui équipe déjà les navires de grandes sociétés maritimes, Louis DREYFUS ARMATEURS, CMA CGM et quelques autres.

Si le  » FLINTERSTAR  » avait été équipé de ce system le mazout serait déjà remonté dans une barge, cela aurait simplifié la tâche des sauveteurs et rassuré les défenseurs de la nature… cela aurait diminué sans aucun doute la facture, et le cabinet du Secrétaire d’Etat en charge de la Mer du Nord, Bart TOMMELEIN aurait vraisemblablement déjà pu annoncer la fin du pompage.

Le  » HC JETTE-MARIT  » en escale forcée à Brest depuis le 8 septembre 2015 sommé par la Préfecture Maritime et le Sous-préfet de Brest d’aller mouiller en baie de Douarnenez pour des raisons de sécurité.

Même les réparations mécaniques nécessaires effectuées le  » HC JETTE-MARIT  » ne peut en aucun cas se rendre avec cette cargaison à la Nouvelle Orléans. S’il quittait Douarnenez pour effectuer ce voyage, cela signifierait que les sociétés de classification, l’Etat du pavillon d’un navire sont plus puissants  » compétents  » que les inspecteurs des Centres de Sécurité des Navires, qui eux essaient (parfois même sous les pressions) de faire respecter les règles tant prônées par la France et nos administrations.

Depuis le 8 septembre 2015 le cargo  » HC JETTE-MARIT  » sur décision du Centre de Sécurité des Navires (CSN) du port de Brest est détenu pour des déficiences techniques graves (qui paraissaient à l’arrivée du navire anodines pour certains et pourtant…pourtant son escale se poursuit).

Ce navire immatriculé à Antigua et Barbuda, est classé par la société de classification Japonaise Nippon Kaiji Kyokai. Ce cargo du type  » vracquier  » n’est pas aux normes pour transporter du ferro silicium et du ferrochrome. Le navire n’est pas classé pour transporter ce type de cargaison qui peut devenir dangereuse, mais pour autant cela n’a dérangé ni le port de Vlissingen, ni l’assureur, ni les dockers, ni les courtiers , ni ceux qui devaient recevoir la cargaison à la Nouvelle Orléans. Tous ces acteurs étaient-ils au courant de la  » supercherie  » dans cet Etat des Etats-Unis si rigoureux…..dans le domaine de la sécurité et de la sûreté maritime ?

Et maintenant, que faire de ce navire et de cette encombrante cargaison ?

La solution serait peut-être un remorquage vers Dunkerque (port équipé pour recevoir ce type de marchandise) ?

Ce navire venait de Vlissingen (Pays-Bas) sans être inquiété par les autorités locales (pays si rigoureux nous dit-on !! sur la sécurité et la sûreté maritime).

Pour l’association MOR GLAZ, les ennuis de l’armateur du  » HC JETTE-MARIT  » ne sont pas terminés, 19 500 tonnes de ferro silicium et du ferrochrome (pour une valeur de 20M€) des minéraux utilisés en sidérurgie qui présentent un éventuel danger.

Le stockage et le transport pouvant dégager de l’hydrogène en présence d’eau, sur un navire ayant des problèmes de ballasts le danger est bien présent y compris pour les marins du bord.

Pour l’association MOR GLAZ l’armateur devrait rapidement prendre la décision défendue par l’association MOR GLAZ.

Le  » HC JETTE-MARIT  » en escale forcée à Brest depuis le 8 septembre 2015 sommé par la Préfecture Maritime et le Sous-préfet de Brest d’aller mouiller en baie de Douarnenez pour des raisons de sécurité, y a-t-il un risque pour l’équipage.

Depuis le 8 septembre 2015 le cargo  » HC JETTE-MARIT  » sur décision du Centre de Sécurité des Navires (CSN) du port de Brest est détenu pour des déficiences techniques graves (qui paraissaient anodines pour certains et pourtant…pourtant son escale se poursuit).

L’association MOR GLAZ avait félicité les agents du (CSN) pour cette sage décision et réitère son soutien. Ce navire immatriculé à Antigua et Barbuda, est classé par la société de classification Japonaise Nippon Kaiji Kyokai. Ce cargo du type  » vraquier  » n’est pas censé pouvoir transporter du ferro silicium et du ferrochrome. Le navire n’est pas classé pour transporter ce type de cargaison qui peut devenir dangereuse, mais pour autant cela n’a dérangé ni le port de Vlissingen, ni l’assureur, ni les dockers, ni les courtiers, ni ceux qui devaient recevoir la cargaison à la Nouvelle Orléans.

La qualité du navire est de plus en plus remise en cause, par des personnes qualifiées  » averties « , elles nous décrivent même le navire dangereux pour les marins qui se trouvent à bord, pour l’environnement et apparemment bien plus encore puisqu’il doit quitter la rade de Brest pour se rendre ailleurs.

Et maintenant, que faire de ce navire et de cette encombrante cargaison ?

La solution serait peut-être un remorquage vers Dunkerque (port équipé pour recevoir ce type de marchandise) ?

Ce navire venait de Vlissingen (Pays-Bas) sans être inquiété par les autorités locales, il se rendait à la Nouvelle Orléans. En avarie de machine en Manche il avait été pris en remorque et ramené vers Brest pour y être réparé.

Dans un premier temps le convoi avait rejoint un mouillage en baie de Douarnenez pour des raisons de sécurité. Mouillage imposé (à juste titre par les autorités) par la nature de sa cargaison à risque, cependant l’équipage était resté à bord, à notre connaissance sans consigne particulière.

Pour l’association MOR GLAZ, le danger était moindre ou alors les marins Russes, Polonais, Ukrainiens et Philippins ne sont pas une priorité, peu de respect pour les marins.

Les ennuis de l’armateur du  » HC JETTE-MARIT  » ne sont pas terminés, 19 500 tonnes de ferro silicium et du ferrochrome (pour une valeur de 20M€) des minéraux utilisés en sidérurgie qui présentent un éventuel danger.

Le stockage et le transport pouvant dégager de l’hydrogène en présence d’eau, sur un navire ayant des problèmes de ballasts le danger est bien présent. D’après nos informations, les ouvriers de la réparation navale Brestoise auraient refusé de monter à bord avant d’avoir des garanties sur leur sécurité et leur santé.

Le port de Brest n’est pas équipé pour débarquer ce genre de cargaison, Dunkerque oui, il serait peut-être judicieux de le remorquer vers ce port pour y débarquer la marchandise qui ne devrait pas se trouver à bord …. Pour l’association MOR GLAZ une affaire à suivre de très près.

Dans quelques jours un exercice se déroulera à quelques milles du port de Brest, afin d’analyser ou d’essayer de se rendre compte si les moyens de sauvetage en cas d’évacuation du  » FROMVEUR II  » de la société maritime Penn-Ar-Bed, sont adéquats dans des conditions météorologiques particulières.

Le 3 septembre 2013, l’association MOR GLAZ félicitait le Commandant et l’équipage du  » FROMVEUR II  » qui avaient évacué les 361 passagers qui se trouvaient à bord du navire suite à son échouement à proximité de l’île Molène. Dès le 4 septembre 2013, l’association MOR GLAZ posait les vraies questions…. Deux heures pour évacuer 361 passagers (par beau temps) avec l’aide d’embarcations d’habitants de l’île Molène, pourquoi les moyens du bord n’avaient-ils pas été utilisés ? Ces moyens sont ils suffisants et adéquats dans toutes les situations ?

Durant des années,  » le Collectif de défense des liaisons maritimes d’Ouessant  » composé de marins et de professionnels a attiré l’attention sur le doute des moyens d’évacuation des passagers sur les navires de la Penn-Ar-Bed. L’association MOR GLAZ, fut reçue le 23 septembre 2013 par le Conseiller du Ministre des transports Frédéric CUVILLIER et acte fut pris de nos inquiétudes et sur la nécessité d’effectuer un exercice, mais piloté par qui ?

Le 6 octobre 2015, un exercice demandé par la Préfecture Maritime aura lieu à bord du  » FROMVEUR II  » pas au même endroit ni pour les mêmes raisons (cependant chacun devra avoir à l’esprit les plus de deux heures passées avec des aides extérieures à évacuer par beau temps les 361 passagers le 3 septembre 2013). Ce sujet a été soulevé avec le Conseiller du Premier Ministre lors de son passage à Ouessant le 10 juillet 2015. Ce Conseiller parce qu’il est un marin avait et accorde une attention particulière et attentive à ce dossier.

L’association MOR GLAZ, et quelques citoyens qui ne souhaitent pas qu’un drame maritime puisse survenir au large des côtes Bretonnes par négligence, par mauvaise interprétation des textes (pour se couvrir), mettant en insécurité la vie de milliers de passagers.

L’association MOR GLAZ constate, que les Affaires Maritimes d’habitude si zélées, ont une lecture erronée parce qu’elles se réfèrent au décret 84-810 ou d’ailleurs l’article 49 de ce décret semble avoir été occulté, pourquoi ? A aucun moment le décret 2000-862 n’a pas été mentionné alors que ce dernier impose à la France l’application de la résolution Maritime Security Convention 48 (66) de l’Organisation Maritime Internationale, qui est déterminante et très stricte en cas d’évacuation pour ce type de navire dans mer de force 6 beaufort minimum.

L’association MOR GLAZ souhaite que tous les moyens de sauvetage des passagers soient réétudiés et appropriés, sur tous les navires à passagers à la pointe Bretagne, mais aussi les effectifs sur ces navires, qui sont souvent insuffisants.

L’évacuation et la sécurité sur le  » FROMVEUR II  » et sur tous les navires propriétés du Département du Finistère avec délégation du service public à la compagnie Penn-Ar-Bed doivent être la priorité absolue et bien plus encore en étant au dessus des normes.

Lors de sa rencontre au ministère, l’association MOR GLAZ avait demandé un exercice dans une mer formée, avec un vent supérieur à force 6, en simulant une panne totale de propulsion afin d’observer le comportement des navires en travers à la lame. Dans ces conditions de mer nous constaterions s’il était possible d’ouvrir les portelones et d’y emmener les radeaux de survie.

Dans un deuxième temps, puisque les moyens du bord le permettent (les grues) l’association MOR GLAZ avait demandé  » préconisé  » que le navire soit gîté à tribord puis à bâbord et qu’un essai d’ouverture des portelones soit effectué avec différents degrés de gîte, afin de se rendre compte si les portelones pourraient bien être ouverts quelque soit le degré de gîte.

Si tribord est inaccessible sur le  » FROMVEUR II « , estimer (toujours dans une mer formée) le temps nécessaire pour évacuer 361 passagers par le seul portelone situé à bâbord. Le  » FROMVEUR I  » avait trois portelones à tribord et deux à bâbord. Le  » ENEZ EUSSA III  » deux portelones de chaque côté.

Dans un courrier (daté du 23 juillet 2015), le Secrétaire d’Etat Alain VIDAEIS écrit, que le permis de navigation du navire a été délivré régulièrement, sauf qu’il y a eu depuis l’accident du 3 septembre 2013. Le Secrétaire d’Etat ne donne aucune information sur le rapport du BEA Mer et l’éventuelle compréhension de ses constations, observations et recommandations. Cet accident resterait-il ignoré de la Direction des Affaires Maritimes ainsi que le rapport du BEA Mer ?

L’association MOR GLAZ veut par ce communiqué attirer l’attention, sur les risques réels d’évacuation qui seraient rencontrés à bord de ces navires lors d’un incident, accident, voie d’eau, incendie etc.…obligeant sur ordre du Commandant à une évacuation  » un abandon  » du navire. L’association MOR GLAZ souhaite également soutenir ceux qui attirent l’attention depuis de longues années sur ces risques.

Le 1er septembre 2015 l’association MOR GLAZ avait écrit un courrier au Député Gilbert Le BRIS et c/c : à Madame la Présidente du Département du Finistère, Secrétaire Général de la Mer, et à la Direction des Affaires Maritimes, la réponse du Député Gilbert Le BRIS ne s’est pas faite attendre,  » je vous assure de ma vigilance sur les conditions de l’exercice qui a été demandé par la Préfecture Maritime pour le 6 octobre prochain ainsi que sur les conclusions qui en seront faites « ……

Remplacement de la L’ABEILLE LANGUEDOC à Boulogne .

L’association MOR GLAZ félicite  » salue  » la rapidité avec laquelle la Direction Générale de la société  » LES ABEILLES  » a trouvé une solution de remplacement lors de l’arrêt momentané et un peu forcé de  » L’ABEILLE LANGUEDOC « , arrêt dû à un problème de réducteur.

Le navire de remplacement le  » SEA LYNX  » bat pavillon Norvégien 1er Registre, il est armé par 14 marins, 10 Norvégiens et 4 Polonais, et de 2 marins de la société  » LES ABEILLES  » la force de traction est de 183 tonnes. Le navire est à 40 minutes d’appareillage.

L’association MOR GLAZ est plutôt satisfaite de constater que la zone du détroit du Pas de Calais est de nouveau protégée. Nous souhaitons bonne mission au Commandant du  » SEA LYNX  » et à son équipage et une reprise rapide de  » L’ABEILLE LANGUEDOC  » pour assurer la protection du littoral.

L’Etat Français doit dès maintenant penser à un remplacement des remorqueurs  » ABEILLES FLANDRE et LANGUEDOC « . Ce remplacement doit être étudié rapidement, le gigantisme des navires qui croisent devant notre littoral représente de réels dangers.

Pourquoi avoir ramené le  » HC JETTE-MARIT  » à Brest dans un port qui n’est pas équipé pour débarquer ce genre de cargaison…. Pour l’association MOR GLAZ une affaire à suivre.

Une escale forcée pour le cargo  » HC JETTE-MARIT  » comme souvent lors de ces escales forcées dans le port de Brest ou ailleurs (enfin espérons) des manquements à la sécurité sont constatés sur les navires.

Hier 17 septembre 2015 vers 16h00 le cargo  » HC JETTE-MARIT  » sur décision du Centre de Sécurité des Navires (CSN) du port de Brest a été détenu pour des déficiences techniques graves (qui paraissent anodines pour certains et pourtant…).

L’association MOR GLAZ félicite les agents du (CSN) pour cette sage décision. Ce navire est immatriculé à Antigua et Barbuda, et classé par la société de classification Japonaise Nippon Kaiji Kyokai. Ce cargo du type  » vracquier  » ne serait pas censé pouvoir transporter du ferro silicium et du ferrochrome. La société de classification Nippon Kaiji Kyokai n’aurait pas classé le navire pour transporter ce type de cargaison, cela n’aurait pas dérangé le port de Vlissingen, port dans lequel a chargé le navire.

La qualité du navire est remise en cause, par des personnes qualifiées  » averties « , elles nous décrivent même le navire comme  » un navire en mauvais état  » donc dangereux pour les marins qui se trouvent à bord et pour l’environnement.

Que faire de ce navire et de cette encombrante cargaison ? Les autorités portuaires avaient-elles tous les éléments avant d’accepter  » d’accorder  » l’escale de ce navire à Brest.

Le Mardi 8 septembre 2015, le vracquier  » HC JETTE-MARIT  » est arrivé sur rade de Brest sous remorque, en avarie de machine.

Ce navire venait de Vlissingen (Pays-Bas) sans être inquiété par les autorités, il se rendait à la Nouvelle Orléans. En avarie de machine en Manche il avait été pris en remorque.

Dans un premier temps le convoi avait rejoint un mouillage en baie de Douarnenez pour des raisons de sécurité. Mouillage imposé (à juste titre par les autorités) par la nature de sa cargaison à risque, cependant l’équipage était resté à bord, à notre connaissance sans consigne particulière.

Pour l’association MOR GLAZ, le danger était moindre ou alors les marins Russes, Polonais, Ukrainiens et Philippins ne sont pas une priorité, peu de respect pour les marins.

Les ennuis de l’armateur du  » HC JETTE-MARIT  » ne sont pas terminés, 19 500 tonnes de ferro silicium et du ferrochrome (pour une valeur de 20M€) des minéraux utilisés en sidérurgie qui présentent un éventuel danger.

Le stockage et le transport pouvant dégager de l’hydrogène en présence d’eau, sur un navire ayant des problèmes de ballasts le danger est bien présent.

D’après nos informations, les ouvriers de la réparation navale Brestoise auraient refusé de monter à bord avant d’avoir des garanties sur leur sécurité et leur santé.

Lettre ouverte à Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale

Monsieur le Président,

Le Zèle des Affaires Maritimes et la situation ubuesque provoquée par cet excès de zèle à l’encontre de Monsieur Cédric LUCAS marin pêcheur à Concarneau va-t-il pouvoir servir à d’autres marins dans la même situation. Monsieur Thierry LESCOUARC’H Procureur de la République à Quimper a accepté le 9 septembre 2015 l’effacement des condamnations inscrites au bulletin n° 2 du casier judiciaire de Monsieur LUCAS. L’association MOR GLAZ et tous ceux qui sont intervenus pour le soutenir ne peuvent qu’être satisfaits par cette heureuse décision.

L’association MOR GLAZ qui a pour objet de défendre la mer, les marins et les activités maritimes, avait dès le 1er juillet 2015 pris une position face à cette injustice. Nous avions rencontré le Conseiller du Premier Ministre en déplacement à Ouessant le 10 juillet 2015, et écrit à toutes celles et ceux qui pouvaient aider Monsieur Cédric LUCAS dans ses démarches. Après avoir obtenu l’effacement du bulletin n° 2 de son casier judiciaire, ce marin pêcheur Concarnois a enfin pu activer sa réinsertion tant défendue par Madame TAUBIRA et le gouvernement.

L’association MOR GLAZ dénonce avec force, le décret d’application n° 2015-598 du 2 juin 2015 du code des transports relatives aux gens de mer. Ce décret pénalise, interdit toute promotion sociale dans les activités maritimes. . Monsieur le Président, parce-que Cédric LUCAS avait commis quelques dérives de jeunesse, sa petite société a faillit sombrer. Le Zèle des Affaires Maritimes, puis la lenteur administrative pour obtenir l’effacement de son bulletin n°2 l’ont lourdement pénalisé. Monsieur le Président par ce courrier, l’association MOR GLAZ vous demande de mettre rapidement à l’ordre du jour de la commission des lois de l’Assemblée Nationale une procédure afin de supprimer ce décret cité plus haut et si stupide, interdisant la réinsertion. Nous souhaiterions que les marins étant dans la même situation que Monsieur LUCAS puissent effectuer la demande d’effacement du bulletin n° 2 de leur casier judiciaire sur simple demande en attendant qu’une loi supprime ce décret ayant des effets néfastes, contradictoires à la réinsertion et à toute promotion possible pour les marins.

Monsieur le Président de l’assemblée Nationale, l’association MOR GLAZ compte sur votre promptitude, votre dynamisme et celle de la commission des lois, afin de mettre fin à ce décret qui crée des situations ubuesques dans un pays qui prône la réinsertion. Dans un pays qui manque et cherche des marins.

Toutes nos correspondances visibles sur www.morglaz.org mettent en avant le cas de Monsieur Cédric LUCAS, mais bien entendu c’est plus largement la réinsertion  » avec possible promotion  » qui nous préoccupe et que nous défendons. Un décret qui empêche  » interdit  » à tout marin de pouvoir reprendre un nouveau cap dans sa vie, professionnelle et familiale, un texte qui interdit toute progression ne peut pas être maintenu dans notre pays.

Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale, l’affaire de Monsieur Cédric LUCAS a aussi fait apparaître certains dysfonctionnements dans l’enseignement maritime et certains établissements qui forment des marins. L’association MOR GLAZ souhaiterait que ces Lycées et établissements ne reçoivent que des élèves ayant vraiment une passion pour les métiers de la mer. Les bancs doivent être occupés par de futurs marins et non par des élèves qui n’ont aucune vocation ni passion maritime. Les classes ne doivent pas seulement être remplies, elles doivent former des gens de mer.

Monsieur le Président, en l’attente, acceptez nos sincères et respectueuses salutations.

Pour l’association MOR GLAZ Le Président      Jean-Paul HELLEQUIN

c/c : Préfet du Finistère, Direction des Affaires Maritimes, Conseiller mer du Premier Ministre, Fédération Nationale des Syndicats Maritimes CGT, CGT des Marins du Grand Ouest, aux Députés Gilbert LE BRIS, Marc LE FUR, Richard FERRAND, Jean-Jacques URVOAS, Chantal GUITTET, Jean-Jacques BLEUVEN, Annick LE LOCK.

l’association MOR GLAZ ne se rendra pas à l’Université d’été du Parti Socialiste à La Rochelle qui se tiendra les 28, 29 et 30 août 2015 .Les sujets maritimes et environnementaux défendus « prônés  » par l’association MOR GLAZ ne sont pas  » plus  » les priorités de ce Parti politique.

 

Les sujets maritimes et environnementaux défendus « prônés  » par l’association MOR GLAZ: développement du cabotage, sécurité maritime, déconstruction et gigantisme des navires, abandons des marins dans les ports, le JLMD Systems obligatoire sur tous les navires, facilitation des formations et promotions des marins… etc.…)

L’association MOR GLAZ et quelques militants se rendaient  » s’invitaient  » depuis quelques années à l’Université d’été du parti Socialiste à La Rochelle, notamment pour défendre la sécurité maritime dans le Golfe de Gascogne, qui n’est plus assurée depuis le 1 septembre 2011……L’engagement et les promesses de Madame Ségolène ROYAL sont restés sans résultat : de la politique du discours et rien d’autre, un manque de conviction pour défendre ce dossier, qui fait pourtant l’objet régulièrement d’interrogation au Sénat, à l’Assemblée Nationale et dans d’autres instances.

Le Ministre des transports Frédéric CUVILLIER a botté en touche durant son poste ministériel (il aurait fallu de sa part une volonté politique qu’il n’a pas). En juillet 2014, des promesses avaient été faites à l’association MOR GLAZ que nous avions aussitôt rendues publiques, promesses restées sans résultat.

Le Maire de La Rochelle considère quant à lui que ce n’est pas de sa responsabilité, et que les remorqueurs portuaires sont suffisants, de la part d’un élu  » présenté comme un grand marin « , cela est assez choquant.

Quant à Madame la Préfète de la Région du Poitou-Charentes qui devait organiser une table ronde sur ce sujet avant fin 2014, elle en met du temps !

Le Ministre de la Défense Jean-Yves LE DRIAN quant à lui reste silencieux, lui qui sommait le 18 décembre 2011 (lorsqu’il était Président de la Région Bretagne) le Premier Ministre François FILLON de repositionner rapidement (via l’AFP) un remorqueur de haute mer à Lorient suite à l’échouement du  » TK BREMEN « .

Lors des assises de la mer qui se tenaient à Nantes en début décembre 2014, le Président du Département de Charente Maritime (Département qui est adhérent à l’association MOR GLAZ) Monsieur Dominique BUSSEREAU avait réclamé un remorqueur pour prévenir tout accident maritime dans cette zone du Golfe de Gascogne dont il connaît la dangerosité maritime.

L’association MOR GLAZ continue et continuera de militer pour des moyens de sauvetage adéquats dans cette zone (le gigantisme des navires multiplie les dangers, les risques et notamment celui des pollutions invisibles avec les pertes de conteneurs).

Il faut des remorqueurs équivalents ou supérieurs à la puissance des Abeilles BOURBON et LIBERTE. Le sujet a été largement abordé avec le Conseiller du Premier Ministre lors de son déplacement à Ouessant le 10 juillet 2015 par l’association MOR GLAZ,  » pour remorquer il faut des remorqueurs puissants, armés sous pavillon Français 1er registre, propriété d’un Groupe puissant et volontaire dans le secteur maritime.

 

LETTRE OUVERTE à Madame Ségolène ROYAL Objet : énième pollution dans le port de Brest

Madame la Ministre, Madame Ségolène ROYAL,

L’association MOR GLAZ que vous connaissez, souhaite par cette lettre ouverte attirer votre attention et plus largement, le fait que les 71% de la surface de la planète est la mer et 97% des réserves d’eau doivent être protégées partout. Il n’existe pas de pollution minime en mer ou pire encore dans un port.

Madame la Ministre de l’Ecologie et de l’Environnement, aux alentours du 17 août 2015 dans le port de Brest il y a eu une pollution, les autorités portuaires, Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) ainsi que certains membres du microcosme brestois se sont tus, sauf que !

L’association MOR GLAZ par ce courrier (et la pièce jointe) aimerait que vous puissiez faire diligenter une enquête sur cette pollution qui n’est pas banale malgré les déclarations officielles. Pour l’association MOR GLAZ, toute pollution est dangereuse, et sème un sérieux doute lorsque les autorités se taisent et cachent cette pollution aux citoyens.

Madame la Ministre, l’enquête terminée (car nous insistons qu’il y a eu cachotterie sur cette pollution) l’association MOR GLAZ souhaite que l’application des textes en vigueurs envers les pollueurs soient appliqués, comme ils le sont contre les capitaines de navire pollueurs et tous ceux qui ne respectent pas les normes environnementales que vous êtes sensée défendre, et que vous défendez publiquement.

Madame, lorsque l’on défend l’environnement, la communication ou la politique politicienne ne suffit pas il faut agir. Madame, en tant que Ministre de l’environnement et en cette période de  » chasse  » à toute pollution et pollueur, vous ne devez, ni ne pouvez laisser passer ce manquement grave au respect des règles environnementales.

Madame la Ministre, peu importe qui pollue, la tolérance doit-être de zéro, et plus encore envers ceux qui imposent des règles  » des normes  » strictes et parfois même zélées aux industriels implantés sur les zones portuaires.

Cette pollution n’est pas la première dans le port de commerce de Brest, des pollutions souvent découvertes et dénoncées par des pêcheurs ou des plaisanciers. Un certain manque de clarté de la part des autorités et des gestionnaires du port de Brest.

L’association MOR GLAZ souhaite connaître rapidement les causes et les responsabilités de chacun dans cette pollution portuaire. Pourquoi les autorités portuaires, la CCI et quelques autres n’ont-elles pas communiqué, pourquoi avoir appliqué certains interdits et pas d’autres ?

Madame la Ministre, nous vous prions de croire en nos respectueuses et sincères salutations.

Pour l’association MOR GLAZ,    Le Président Jean-Paul HELLEQUIN

POLLUTION DANS LE PORT DE BREST, UNE VILAINE CACHOTTERIE ESTIVALE DE LA PART DU MICROCOSME PORTUAIRE BRESTOIS, SAUF QUE !!!!

L’association MOR GLAZ est moyennement surprise du manque de communication de la part des autorités et  » responsables  » du port de Brest sur la énième pollution survenue le 17 août 2015 (ou avant qui sait) dans le port de Brest ?

Cette pollution n’est pas la première dans le port de commerce de Brest, des pollutions souvent découvertes par des pêcheurs ou des plaisanciers, manque de clarté de la part des autorités.

L’association MOR GLAZ savait depuis longtemps que les grilles qui entourent la totalité du port de Brest ne sont pas là que pour uniquement protéger, la sécurité des citoyens, la sûreté des marchandises, elles sont aussi là pour permettre des petites cachotteries entre amis, comme les pollutions, mais aussi pour protéger et ne pas divulguer d’autres intérêts particuliers (salariés détachés, marins désœuvrés parfois en quasi abandon etc.….).

Comme d’habitude l’association MOR GLAZ constate, que personne n’est responsable, que personne n’était au courant. L’association MOR GLAZ irait même plus loin surtout ne pas savoir » ne pas voir »  » ne pas dire » en cette période estivale, le pavillon vert aurait-il pu passer au rouge. Et le citoyen dans tout ça que devient-il… comment est-il considéré par ceux qui auraient dû expliquer cette pollution..

La pollution serait  » accidentelle  » alors pourquoi ne pas l’expliquer au lieu de ne rien dire, de cacher comme trop souvent et donc d’autoriser toutes les supputations de la part de l’association MOR GLAZ qui est confrontée au zèle permanent des autorités portuaires et notamment à Brest (autorités portuaires assermentées). Mais que vont penser les citoyens cette fois encore ? que ce genre de problème de pollution ne les concernerait pas, que cela n’est pas important. Erreur, le citoyen veut et doit savoir….

L’association MOR GLAZ croit cependant avoir une réponse à cette honteuse cachotterie…les touristes, la présence de nombreux médias durant l’escale de l’Hermione à Brest. Cette pollution aurait noirci c’est le cas de le dire la jolie carte postale.

L’association MOR GLAZ dénonce une fois de plus, cette façon de faire qui n’est pas très citoyenne  » peu orthodoxe « . Une méthode devenue une habitude de la part d’autorités  » du microcosme »qui ne sont décidément pas à la hauteur de leurs responsabilités.

Pour l’association MOR GLAZ toute pollution est grave et elle doit être expliquée.

Au début des années 2000, époque de la grande chasse aux capitaines pollueurs, au Tribunal de Grande Instance de Brest, les mêmes cachottiers expliquaient à juste titre, que toute pollution était très grave et que les capitaines pollueurs devaient être très sévèrement punis.

Pour l’Association MOR GLAZ, aucun doute, les capitaines des navires pollueurs sont responsables  et doivent impérativement déposer leurs déchets à quai…. mais ces déchets sont-ils sans risque pour l’environnement lorsqu’ils sont déposés à Brest ?