Le dernier épisode du feuilleton du « CAPTAIN TSAREV » amarré au port de Brest touche-t-il à sa fin ?

Ce navire avait été remorqué à Brest en novembre 2008. Le navire devra impérativement avoir quitté le port de Brest pour le 31 mai 2016….. fêtes maritimes du mois de juillet obligent……

L’association MOR GLAZ apprend ce jour que le courtier ayant en charge ce dossier n’aurait sollicité à ce jour que des chantiers en Turquie et un Lituanien sans consulter les ports Français habilités à déconstruire ce type de navires.

Les consultations se feraient-elles comme trop souvent dans ce milieu de la déconstruction navale entre amis ? Les entreprises de démolition ont jusqu’au 7 avril 2016 pour déposer leur offre.

Pour l’association MOR GLAZ ce navire doit être déconstruit à Brest. Les compétences sont sur place, les espaces aussi, personne ne devrait pouvoir interdire cette activité de déconstruction sur les espaces payés par l’argent du contribuable !! des Sociétés Françaises et locales peuvent effectuer ce travail puis exporter la ferraille.

L’Association MOR GLAZ ne pourrait que saluer la décision de faire déconstruire ce navire à Brest, nous savons que cela est possible. La déconstruction des vieux navires reste une problématique en France et en Europe,

L’association MOR GLAZ a retenu les propos de certains créanciers qui seraient prêts à abandonner leurs créances au profit des Equipages (92739 USD pour les salaires, plus de 155739 USD avec les frais de rapatriement et de justice) ces propos ont été réitérés lors d’une Commission du bien être des Gens de Mer qui se tenait à Brest en décembre 2015. Les Marins du  » CAPTAIN TSAREV  » doivent percevoir la totalité de leurs salaires manquants sur la vente des 5000 tonnes de ferraille.

L’association MOR GLAZ réitère sa demande de déconstruire au plus près, les navires abandonnés dans le port de Brest  » ANTIGONE Z  »  » KARL « , et ce dans les meilleurs délais, l’espace et le savoir faire sont là, il ne manque que la volonté locale, départementale et régionale.

Les lobbyings brestois (cités dans le rapport du Député Pierre CARDO) opposés à la déconstruction des vieux navires civils et militaires devront tôt ou tard admettre que cette activité peut et doit s’effectuer à Brest lorsque les opportunités se présentent, la déconstruction du  » CAPTAIN TSAREV  » et ceux cités plus haut en sont…

Pour l’association MOR GLAZ, non seulement cette activité créera quelques d’emplois mais aussi un trafic maritime portuaire significatif dans le port de Brest, trafic qui s’ajoutera à celui déjà existant dû à l’exportation des métaux vers les fonderies de la péninsule ibérique. Aucune activité ne doit être marginalisée ni sous évaluée. Sous des prétextes futiles, allons-nous continuer à exporter nos déchets vers des pays moins regardants sur les aspects sociaux et environnementaux ?

Périple du CAPTAIN TSAREV

Le porte-conteneurs  » KALLIOPI RC  » fait route vers la baie d’ALANG pour y être déconstruit…. comme d’habitude les mêmes méthodes sournoises sont utilisées…pour l’ultime voyage. Le mardi 22 mars 2016 au matin il a repris sa route. Comment ce navire a-t-il pu quitter le port du Havre alors qu’il est hors norme. Le périple du porte-conteneurs vers les plages indiennes est semble-t-il loin d’être terminé, sauf si une administration courageuse décidait de ne pas le laisser repartir lors de sa prochaine escale !

Pour l’association MOR GLAZ Le porte-conteneurs  » KALLIOPI RC  » fait route vers la baie d’ALANG pour y être déconstruit…. comme d’habitude les mêmes méthodes sournoises sont utilisées…pour l’ultime voyage.

Le porte-conteneurs KALLIOPI RC, long de 294 mètres et battant pavillon du Libéria, est reparti le jeudi 17 mars 2016 du port du Havre (port dans lequel il avait été remorqué le 3 mars 2016 par l’ABEILLE LIBERTE suite à une avarie). Le KALLIOPI RC est parti en direction du Pirée par ses propres moyens.

L’association MOR GLAZ déplore tout comme l’ONG Robin des bois, le départ du navire vers la baie d’ALANG pour y être déconstruit, car ne soyons pas dupe !!. Le scénario est classique.

Pour l’association MOR GLAZ, le KALLIOPI RC appartient bien à un armateur Allemand, qui a choisi en toute impunité et de manière irresponsable d’envoyer son navire à la déconstruction en Inde. Comment ce navire a-t-il pu quitter le port du Havre alors qu’il est hors norme (pour preuve le KALLIOPI RC en passant le détroit de Gibraltar est tombé en avarie le lundi 21 mars 2016 dans l’après midi et a dérivé toute la nuit à 1,7 nœud dans cette zone que chacun sait très fréquentée) Le mardi 22 mars 2016 au matin il a repris sa route.

Le périple du porte-conteneurs vers les plages indiennes est semble-t-il loin d’être terminé, sauf si une administration courageuse décidait de ne pas le laisser repartir lors de sa prochaine escale !

Pour l’association MOR GLAZ, les vieux navires doivent être déconstruits au plus près pour diverses raisons : sociales, humaines, environnementales et industrielles.

Un reportage du Grand Reporter Marc de CHALVRON diffusé le 20 mai 2015 au 20h de France TV sur la 2, donne froid dans le dos… il devrait faire réfléchir. Ce sujet de plus de 5 minutes incontestablement est le meilleur depuis des années, dans ce reportage, nous découvrons la triste vérité sur la déconstruction des vieux navires qui appartiennent, ou ont appartenu à des armateurs Européens.

Voilà pourquoi l’association MOR GLAZ défend depuis plus de 10 ans la déconstruction des navires en France dès qu’une opportunité se présente, et il y en a des opportunités. Pour l’association MOR GLAZ, les vieux navires doivent être déconstruits au plus près lorsque cela est possible, et le rendre obligatoire pour les armateurs Européens (d’ailleurs notre position avait été soutenue par la Ministre Madame Ségolène ROYAL en 2014, et puis ?)

La Loi dite MACRON devait encourager et aider (si nécessaire) toutes les activités industrielles qui pourraient s’implanter sur les ports.

En France, tous les industriels ne sont pas à la recherche de subventions, ils sont à la recherche d’espaces sur les ports, afin de pouvoir exercer des activités jusque là boudées par la France, telle que la déconstruction des vieux navires. Ces industriels sont aussi demandeurs de moins de tracasseries administratives qui les découragent à vouloir s’implanter dans des lieux stratégiques pour leurs activités. Une demande d’implantation d’entreprise de démantèlement de navires sur le port de Calais depuis plusieurs mois, fait polémique car, trop de tracasseries administratives, non justifiées, inutiles, entre celles et ceux qui pourraient donner les autorisations rapides pour que l’activité de déconstruction de navires s’installe sur le port de Calais (dans ce port, dans un premier temps 10 navires pourraient être déconstruits, ce chantier créerait immédiatement 10 emplois, mais aussi un pouvoir d’achat pour 10 familles, et créerait forcément une activité de cabotage dans ce port, afin d’exporter la ferraille).

les vieux navires doivent être déconstruits au plus près

Pour l’association MOR GLAZ, il est préférable de développer les activités y compris la déconstruction des navires, sur les ports Français et Européens en créant une activité complémentaire à toutes celles existantes.

Assez de faire déconstruire tous ces navires au Bangladesh dont 20% des travailleurs ont de 12 à 14 ans.

Assez de tenir des discours incohérents du genre  » nous leur apportons du travail « .

Une chose est indiscutable, nous leurs exportons nos déchets, des vieux navires qui ont transporté nos richesses ( 90% des échanges mondiaux, 20 milliards de tonnes en 2015)

Nous leur exportons la mort sur ces chantiers d’un autre temps.

outes les conventions internationales, accords d’apparence ne changent pas grand-chose sur les pratiques au Bangladesh et ailleurs, aucune évolution en 40 ans. Pour l’association MOR GLAZ, toute implantation d’entreprise doit être encouragée sur un port, si celle-ci est respectueuse de l’Homme et de l’Environnement. Chaque emploi créé doit être perçu comme une victoire contre le chômage et la pauvreté. Sachons montrer le savoir faire Français dans tous les domaines, y compris dans celui de la déconstruction navale.

Assez de constater que les pays du Nord se débarrassent sous de futiles prétextes de leurs déchets (vieux navires) vers le Bangladesh, l’Afrique où ailleurs. Optons pour les activités diverses dans les ports Français et Européens, y compris pour déconstruire les vieux navires.Jean-Paul

Jean-Paul HELLEQUIN,     Président de l’association MOR GLAZ

ASSOCIATION DU REMORQUAGE le 21 mars 2016 à bord de l’ABEILLE BOURBON REMISE DES DONS POUR LES ASSOCIATIONS QUE NOUS SOUTENONS

Le bilan des visites des remorqueurs :

ABEILLE LANGUEDOC, ABEILLE LIBERTE et ABEILLE BOURBON

pour 2015 est cette fois encore très positif.

Avec la remise de ce chèque de 6912€

remis ce jour 21 mars 2016 à bord de l’ABEILLE BOURBON,

les dons s’élèvent pour 2016 à 22901€, (et ce, malgré une visite annulée, une autre écourtée et des appareillages impromptus). Les dons ont été partagés comme suit : rappelons que les dons perçus sont remis à l’€

2873€ à l’ADOSM de Cherbourg

957€ à la Caisse des Péris en Mer (Cherbourg)

5244€ à l’ADOSM de Brest

6912€ à l’Association « PAS A PAS AVEC ALEXIA »

6912€ à La Recherche Contre La MUCOVISCIDOSE (laboratoire de Recherche Brestois)

Merci à toutes et tous pour votre engagement, sans vous rien ne serait possible.

Depuis 6 ans les visites sont organisées par l’Association du Remorquage (afin de mieux structurer et d’encadrer ces visites grand public qui attirent des milliers de visiteurs) 70% des dons et adhésions de l’Association du Remorquage sont dépensées  » investis  » pour soutenir des associations (joindre l’utile à l’agréable) en rappelant les moyens pour venir en aide aux marins et aux biens sous l’autorité des Préfets Maritimes, rappeler aussi que ces moyens sont très utiles. Les milliers de visiteurs sont toujours attentifs à la prévention, aux nombres de naufrages évités depuis 1978. Ces visites suscites aussi des vocations, des envies parfois chez des jeunes de devenir marin et pourquoi pas sauveteur.

Mesdames, messieurs, militaires et civils, à tous les bénévoles, aux saltimbanques, à le SACEM, aux services techniques de BMO pour le prêt du chalet si pratique, aux commerçants du port pour les lots offerts pour approvisionner la tombola lors de ces visites. A toutes et tous, aux milliers de visiteurs, l’association du Remorquage vous remercie pour votre aide et votre générosité, pour vos engagements pour soutenir, aider et savoir tendre la main.

Un grand merci au Groupe HUMANIS, notre généreux et fidèle partenaire, à BOURBON, aux ABEILLES et à son ancien Directeur Général Christian QUILLIVIC qui nous a toujours aidé avec une grande discrétion.

L’Assemblée Générale de l’Association du Remorquage se déroulera cette année à Douarnenez les 27 et 28 mai 2016. Je vous souhaite une belle et agréable journée, encore merci pour votre présence.

JPH…Président d l’Association du Remorquage

COMMENT APPREHENDER LE GIGANTISME DES DERNIERES GENERATIONS DE PORTE-CONTENEURS Traduction d’un Article écrit par 2 Pilotes de Rotterdam dans la Revue  » Port Technology International « 

Le 16 décembre 2012 le  » CMA CGM MARCO POLO  » effectuait son escale inaugurale à Rotterdam. Ce porte-conteneurs (PC) d’une capacité de plus de 16 000 EVP (Conteneurs de 20 pieds de long) ainsi que ses sister-ship sont actuellement les plus grands au monde, mais d’ici quelques mois ils seront détrônés par la série des  » Triple E  » de la Compagnie danoise Maersk qui eux auront une capacité de 18 000 EVP ! Cette course au gigantisme dans le transport conteneurisé n’est pas un cas isolé puisque dans d’autres segments du transport maritime nous assistons à la même dérive (Chez les vraquiers il y a ceux que l’on appelle les  » Valemax « , chez les paquebots la sortie de la série  » Oasis of the seas  » dont les chantiers de l’Atlantique construiront le prochaine exemplaire à repousser toutes les limites et pour les gaziers même course au gigantisme avec les  » Q Max « ). Cette tendance met la pression sur tous les acteurs portuaires. Dans cet article les auteurs se focalisent sur l’impact de ces  » baleines  » dans l’environnement portuaire.

Caractéristiques des  » Ultra Large PC « 

Les navires de la série  » EMMA MAERSK  » (lancé en 2006) et ceux de la série  » MSC BEATRICE  » (lancé en 2009) ont désormais transité dans de nombreux ports. Les dimensions générales du  » CMA CGM MARCO POLO  » et ceux de la série  » Triple E  » diffèrent peu de celles de la série  » EMMA MAERSK  » dans les premières lignes du tableau ci-dessous. On notera que le  » MARCO POLO  » est moins large mais transport davantage de conteneurs que  » EMMA MAERSK « . Ceci s’explique par le nouveau concept de château déporté sur le 1/3 avant permettant de charger sans limite de visibilité derrière ce même château. En descendant plus bas dans le tableau quelques différences intéressantes apparaissent. Le déplacement de la série des  » Triple E  » est nettement plus important que le  » MARCO POLO  » mais leur puissance machine est de 20 % inférieure ! Cet écart est par ailleurs démontré lorsque l’on examine le rapport Puissance machine / Déplacement. Les  » Triple E  » ont 30 % de puissance en moins par tonne de déplacement que les 3 autres séries de navire. Cet écarts’explique par le souhait de Maersk de faire naviguer les  » Triple E  » à vitesse réduite (ndlr : Moins de vitesse = Moins de consommation avec plus de conteneurs chargés, business is business !). Puisque la vitesse n’est pas le critère retenu pour les  » Triple E  » la largeur est donc plus importante expliquant une fois encore sa plus grande capacité et son plus fort déplacement. La surface vélique des  » Triple E  » est également nettement plus importante mais le rapport Puissance des Propulseurs d’étrave / Surface vélique est quasi similaire pour les navires Maersk et meilleur que les 2 autres séries de navires (MARCO POLO et MSC Béatrice).

Sur la base de ces résultats on peut conclure que les capacités d’arrêt et de giration des  » Triple E  » sont plus réduites tandis que leur faculté à contrôler l’avant demeure intacte. Ce constat associé aux 22,5 % de surface vélique supplémentaire induit des conséquences non négligeables pour les remorqueurs lors des manœuvres portuaires.

Anticipation de la manœuvre de ces géants

Dans de nombreux ports la pratique courante est que les remorqueurs attendent à l’abri des digues. Une fois le remorqueur arrière croché, la maitrise du navire s’en trouve facilité. Toutefois comme la prise de remorque et son capèlement prend quand même quelques minutes l’aide des remorqueurs ne peut vraiment avoir lieu que lorsque le navire est déjà bien engagé à l’intérieur du port ! Les porte-conteneurs géants répondant plus lentement à la machine un nouveau  » timing  » s’impose : les remorqueurs doivent être crochés plus tôt. Pour certains ports cela signifie à l’extérieur des digues c’est à dire en zone de mer agitée. L’extension des digues est une solution au problème, mais préparer les remorqueurs, leurs équipages ainsi que les pilotes aux prises de remorque par mer agitée peut s’avérer plus économique. Les pilotes, les capitaines de remorqueurs ainsi que les commandants devront faire face aux challenges suivants avec l’arrivée de ces nouveaux géants :

– Les remorqueurs devront pouvoir crocher et travailler par mer agitée (cas d’Antifer)

– Les pilotes et les capitaines de remorqueur devront se familiariser avec la lenteur de réaction de ces grands PC.

– Ces grands PC s’avèrent être très vulnérables par fort vent Par conséquent mieux vaut pour ces acteurs impliqués dans la manœuvre d’être le mieux préparé.

EntrainementIl

est important que les pilotes et les capitaines de remorqueur soient bien préparés avant l’arrivée dans leur port de ces porte-conteneurs géants d’autant qu’une nouvelle approche de la manœuvre s’impose. Pour ce faire l’entrainement sur simulateur doit être combiné en impliquant à la fois le pilote embarqué sur le porte-conteneurs et le capitaine de remorqueur d’autre part, chacun étant dans un simulateur dédié. De cette façon les aspects techniques tel que d’une part le temps de réponse du remorqueur une fois l’ordre du pilote transmis et d’autre part l’aspect humain lors des communications entre les deux parties sont complètement analysés. La figure 1 montre des images d’un récent entrainement ou le pilote avait en charge un grand gazier LNG depuis la passerelle multi mission www.marin.nl , tandis que deux capitaines de remorqueur expérimentés étaient embarqués l’un sur le remorqueur avant et l’autre sur le remorqueur arrière depuis des simulateurs de manœuvre compact. Ces simulateurs compacts reproduisant la configuration de remorqueurs ASD avec la commande des treuils de remorque.

Lors de ces entrainements simulés, le rendu du monde virtuel se doit d’être aussi fidèle que possible du monde réel. Le retour qu’ont les pilotes hollandais de leurs clients passant sur simulateur confirme une fidélité très proche de la réalité ceci en raison de leur expérience en la matière depuis 30 ans. Toutefois les progrès constant en matière de numérisation rendront la simulation incontournable.

Efficacité du remorqueur par mer agitée et sécurité du remorqueur

Le passage de remorque et le travail du remorqueur par mer agitée soulèvent quelques questions tant sur le design du remorqueur que sur la conduite à tenir par son équipage. Des recherches pointues ont été menées par www.marin.nl sur ces points dans le cadre d’un projet commun intitulé  » SAFETUG « .

Un des points qui soulève le plus de questions lors du remorquage par mer agitée est la tension sur la remorque : des à-coups brutaux sur la remorque peuvent engendrer sa rupture. Cette rupture peut être évitée en installant un treuil de remorque actif ou passif amortissant les à-coups sur la remorque. Dans des conditions de mer pas trop agitée l’emploi de queue de remorque en nylon peut permettre également d’encaisser les surcharges. Une autre action peut être entreprise en minimisant les mouvements du remorqueur. Ce dernier point présente également l’avantage d’améliorer la sécurité et le confort de l’équipage du remorqueur présent sur le pont.

En dehors de l’aspect technique permettant d’améliorer prise de remorque et remorquage par mer agitée, l’effet des mouvements du remorqueur sur les performances de son équipage a également été scruté dans le cadre de  » SAFETUG « . Cette étude a été mené en effectuant un comparatif entre la simulation d’un remorquage fait depuis la plate-forme fixe du simulateur MARIN et le même exercice effectué sur le simulateur  » dynamique  » Desdemona. Le simulateur TNO Desdemona comprend une mini cabine de conception basique ne pouvant contenir qu’une personne à la fois (le capitaine de remorqueur). Dans cette cabine la scène est projetée sur 210°. Cette cabine est montée sur une plateforme dynamique (Voir figure 2). Le capitaine de remorqueur doit exécuter des manœuvres d’escorte de navire sous remorque et par mer agitée alors que la cabine remue de la même manière qu’un remorqueur en pareils circonstances dans la réalité. Afin de mesurer la charge de travail du capitaine de remorqueur ce dernier doit presser un bouton poussoir dès qu’un voyant rouge s’allume sur son pupitre.

L’un des premiers résultats obtenu par cette expérience montre que le capitaine le plus expérimenté assurait nettement mieux son travail de remorquage par mer agitée que le moins expérimenté. De manière générale les capitaines de remorqueur effectuaient un meilleur travail quand leur charge de travail était moindre. Par conséquent gagner de l’expérience par l’entrainement a un effet positif sur la fiabilité générale du remorqueur. Les résultats de  » SAFETUG  » ont également été utilisés pour améliorer notre simulateur. La réponse au remorquage par mer agitée ne peut être obtenue qu’en étant à l’écoute des essais effectués grandeur nature et www.marin.nl a en particulier la capacité de modéliser des cas complexes d’utilisation de treuils de remorque. Les compagnies de remorquage peuvent jouer sur les réglages du treuil de remorque et voir les effets induits sur la charge encaissée par la remorque lors d’interventions par mer agitée.

A l’heure actuelle www.marin.nl travaille sur un projet dont l’objectif est la sécurité du remorqueur et les scénarios possibles en situation d’urgence.

Force exercée par le vent

Un autre point à prendre en compte dans la manœuvre de ces nouveaux porte-conteneurs géants est la modélisation des forces exercées par le vent. Les forces exercées par le vent sur un navire sont habituellement calculées à 10 mètres de haut c’est à dire à la position du centre de gravité en prenant en compte des coefficients selon la dénomination de la force (latérale, frontale et moment giratoire) et la vitesse du vent. Ces coefficients sont souvent déterminés par mesures en soufflerie sur un profil type. Bien que cette méthode de calcul donne des résultats acceptables pour les navires situés au large, la même approche ne convient pas à la navigation en zone portuaire. Une zone soumise au vent dans un port est plus complexe à appréhender en raison des abris créés par exemple par les tanks d’hydrocarbure, les constructions hautes ou les autres navires alentours. En outre le vent agissant sur un navire n’est pas uniforme sur toute sa longueur et sur toute sa hauteur. Les variations de vitesse de vent sur la longueur d’un navire peuvent affectées sa manœuvre de manière non négligeable. Les essais effectués en soufflerie ne donnent pas de solution sur de tels effets de même que pour la façon de les prendre en compte en simulation.

La conséquence sur la manœuvre d’un navire peut se manifester de deux façons : surestimation ou sous-estimation de la force exercée par le vent. En appliquant une vitesse de vent uniforme agissant comme au large sur un navire, les effets de rugosité et d’abri évoqués plus haut ne sont pas pris en ligne de compte. Les études récentes entreprises par l’Université Technique d’Eindhoven pour le Port de Rotterdam montrent que les effets des obstacles sur la vitesse du vent à basse altitude sont non négligeables. Cela se remarque en particulier pour les terminaux à conteneurs ou le stockage de ces derniers à un effet sur la vitesse du vent rencontrée dans le bassin contiguë.

Applying results of such calculated wind fields……

 

 

La loi pour protéger les mers et les océans évoluait… mais le gouvernement en aurait décidé autrement. La logique des pollueurs-payeurs pourraient faire payer leurs délits par les contribuables, comment cela est-il possible, quels sont ceux qui peuvent avoir de telles idée ?

Déballastages sauvages

alors que le 2 juin 2000 les Députés durcissaient la loi contre les pollueurs  » pollueurs payeurs

Le 24 février 2016 un Falcon 50 de la Marine Nationale détectait une pollution en mer. Le cargo responsable de cette pollution avait été dérouté vers Brest. Le cargo  » THISSEAS  » avait pu reprendre son cap après que l’armateur Grecque se soit acquitté d’une caution fixée à 500.000€ par les autorités Françaises. Ce résultat était celui de plusieurs années de combat par les associations auprès des autorités. L’amendement déposé par le gouvernement Français le mardi 1 mars 2016 sur le projet de loi biodiversité va-t-il permettre  » autoriser  » comme il y a des décennies aux  » pseudos-armateur  » de polluer en toute quiétude et sans ne jamais être inquiétés ?

L’association MOR GLAZ se demande ce qu’en pense les membres du gouvernement de  » tendance  » écologique, et sont-ils prêts à rester dans un tel gouvernement qui ferait payer les contribuables à la place des pollueurs ?

La fameuse COP 21 qui devait être la marque  » l’empreinte  » du Président François HOLLANDE n’est-elle pas juste un peu entachée, qu’en pense Nicolas HULOT de cet amendement sournoisement déposé ? L’association MOR GLAZ demande que tous les Elus du littoral se mobilisent contre cet amendement, grotesque, insensé, insultant y compris à leur encontre !

Comment un pays qui clame sans arrêt un déficit budgétaire, serait-il prêt à payer à la place de ceux qui polluent. L’association MOR GLAZ espère que cette nouvelle bonne mauvaise idée sera purement et simplement jetée aux oubliettes ! Un permis de polluer n’était pas nécessaire.

Ceux qui n’ont pas opté pour le bon choix de ne plus polluer, lorsque ces derniers se fond prendre ils doivent payer le prix fort, le maximum autorisé par la loi.

L’association MOR GLAZ condamne toutes les pollutions volontaires, cependant il faut noter que certains navires sont tellement mal entretenus, que la pollution est inévitable malgré toute la volonté des équipages. Le gouvernement devrait plutôt proposer des lois pour interdire ces vieux navires plutôt que d’essayer de faire passer des amendements aussi stupides et insultants permettant de détruire et de polluer la planète (COP21).

Si les moyens pour traquer les pollueurs étaient plus importants, l’association MOR GLAZ est convaincue qu’il y aurait bien plus d’infractions flagrantes de relevée  » constatée  » contre les océans

Jean-Paul HELLEQUIN…. Président de l’association MOR GLAZ

c/c : Premier Ministre, Madame Ségolène Royal, Secrétaire d’Etat aux Transports, Direction des Affaires Maritimes, Secretariat Général à la Mer

Les  » géants des mers » peuvent ils être remorqués en cas d’avarie, par toutes les conditions météorologiques lorsqu’ils sont chargés en marchandise et en carburant ? La synthèse de l’exercice qui se passe en ce moment au large de la Bretagne nous le dira….des conséquences en seront forcément tirées….

En ce moment (le 1 mars 2016) un exercice de remorquage se déroule au large de la Bretagne avec le remorqueur  » ABEILLE BOURBON  » et le porte-conteneurs  » EMMA MAERSK « . Cet exercice est réalisé afin de vérifier si les moyens de remorquage sont suffisants pour maintenir au cap souhaité ces géants des mers s’ils rencontraient des difficultés.

L’association MOR GLAZ remercie la société maritime  » MAERSK  » comme nous l’avions fait le 9 mars 2013 lors de l’exercice avec le  » MARCO POLO  » de la  » CMA CGM «  les armateurs veulent savoir quels sont les moyens de sauvetages existants.

L’association MOR GLAZ tient à féliciter tous ceux qui ont permis  » organisé  » la réalisation de cet exercice et tous ceux qui en sont à l’initiative. Ces exercices sont utiles et ils devraient être plus fréquents, car la flotte mondiale a opté pour le gigantisme des navires. L’argent qui aura été utilisé aujourd’hui pour réaliser cet exercice aura été utilement dépensé, car c’est de la prévention…. pour tester les moyens, il faut les utiliser pour en tirer certaines conclusions.

Le gigantisme de ces navires reste cependant un danger, les Etats et les armateurs mondiaux doivent se rencontrer et trouver ensemble des solutions pour faire face aux dangers que représentent ces grands navires en mer et dans les ports.

En janvier 2007 les deux plus puissants remorqueurs d’Europe furent mobilisés pour faire face à l’accident du  » MSC NAPOLI  » qui se trouvait dans la Manche qui ne transportait que 2200 conteneurs dont certains représentaient 1700 tonnes de produits toxiques (recensés), 4000 m3 de fioul lourd pour sa propulsion et 142 m3 de gasoil.

Même si cet exercice est déjà un succès par sa réalisation, les moyens de sauvetage et d’intervention ne sont pas suffisants sur le littoral Atlantique.

Par ailleurs, si le  » EMMA MAERSK » avait été en difficulté ….vers quel endroit refuge puis vers quel port aurait il été remorqué ?

En cas de perte de conteneurs, quels sont les moyens mis à la disposition des Préfets Maritimes pour les récupérer. Contrairement à ce que nous avons parfois entendu, tout engin à l’eau… bois… conteneurs et autres engins… sont dangereux pour la navigation, et la mer n’est pas une poubelle.

Cet exercice, même s’il est utile, ne freinera en rien les rencontres de l’association MOR GLAZ afin d’obtenir plus de moyens…. des remorqueurs plus nombreux, plus puissants et plus modernes pour intervenir lorsque cela sera nécessaire.

La prévention depuis 1978 a évité plus de 21 catastrophes équivalentes à celle de  » AMOCO CADIZ « .

Jean-Paul HELLEQUIN Président de l’association MOR GLAZ

 

Le 24 février 2016 un Falcon 50 de la Marine Nationale détectait une pollution en mer. Le cargo responsable de cette pollution a été dérouté vers Brest. Le cargo  » THISSEAS  » est au mouillage en rade de Brest depuis le 26 courant dans la soirée, il pourra reprendre son cap lorsque l’armateur Grecque se sera acquitté d’une caution fixée à 500.000€ par les autorités Françaises.

Il y a quelques années cette pollution aurait fait la une de tous les médias

Une nappe d’hydrocarbure constatée dans le sillage du vraquier le  » THISSEAS  » long de 225 mètres battant pavillon du Libéria. Ce navire en provenance de Saint-Pétersbourg se dirigeait vers la Chine, cette escale forcée devrait donner à réfléchir à d’autres armateurs récalcitrants  » pollueurs  » !

La pollution filmée par l’equipage du Falcon 50 serait de plus de 40 kms de long et de 50 mètres de large. Si cette pollution était avérée volontaire, les responsables devront payer le prix fort. L’association MOR GLAZ, était la première à expliquer dès 2000 à la barre du Tribunal de Grande Instance de Brest, du Havre et de Marseille le fonctionnement obscure d’un certain transport maritime et de certains armateurs qui d’déshonorent la profession. L’association MOR GLAZ ne peut pas accepter de pollution volontaire.

L’association MOR GLAZ sait  » constate  » que depuis quelques années les armateurs sérieux se sont disciplinés, ils ont fait le choix de ne plus polluer (ni ici, ni ailleurs), de traiter les déchets, et de les laisser dans les ports même si cela a un coût financier important. Certains ont opté pour le bon choix (aucune pollution volontaire), alors que d’autres ne polluent pas ici mais ailleurs, ne soyons pas dupes.

Ceux qui n’ont pas opté pour le bon choix de ne plus polluer, lorsque ces derniers se fond prendre ils doivent payer le prix fort, le maximum autorisé par la loi. L’association MOR GLAZ condamne toute forme de pollution volontaire, cependant il faut noter que certains navires sont tellement mal entretenus, que la pollution est inévitable malgré toute la volonté des équipages. Si les moyens pour traquer les pollueurs étaient plus importants, l’association MOR GLAZ est convaincue qu’il y aurait bien plus d’infractions flagrantes de relevée  » constatée  » contre les océans.

En 2002 l’association MOR GLAZ demandait  » suggérait  » que l’encaissement des condamnations soit utilisé afin de financer des moyens supplémentaires pour lutter contre les pollueurs des mers.

Le Président de l’association MOR GLAZ

C/c : Premier Ministre, Madame Ségolène Royal, Secrétaire d’Etat aux Transports, Direction des Affaires Maritimes, Secretariat Général à la Mer

L’association MOR GLAZ est satisfaite comme un grand nombre, que le chantier de réparation Brestois reçoive de plus en plus de navires et que l’activité reprenne malgré la crise mondiale de la construction et de la réparation navale.

L’association MOR GLAZ constate que nous avons depuis quelques temps dans le port de Brest tous les éléments pour effectuer un exercice comme en mars 2013, avec le  » CMA CGM MARCO POLO « .

Un tel exercice avec le  » EMMA MAERSK  » (398 mètres de long 56 mètres de large et 16 mètres de tirant d’eau) en ce moment en réparation à Brest permettrait de tirer certaines conclusions….les moyens de sauvetage pour un tel navire sont-ils suffisants par vents forts et une mer agitée ? et ainsi se rendre compte si les navires de ce type à remorquer sont suffisamment équipés pour faire face à des remorquages qui doivent être réalisés rapidement (dans l’urgence selon la position du navire).

Les points d’amarrages où sont capelées les pantoires résisteraient-ils et à quelle traction? résisteraient-ils à plus de 200 tonnes de traction ? ces navires sont-ils équipés de remorque de secours ?

Pour l’association MOR GLAZ, les armateurs sérieux (et il y en a) devraient être précurseurs et ne pas attendre la décision la préconisation de l’Organisation Maritime Internationale qui tarde, à imposer certaines mesures aux armateurs récalcitrants (et il y en a).

Il n’est pas utile d’attendre une catastrophe pour équiper les navires afin d’effectuer des prises de remorques rapides évitant des dérives trop longues « interminables  » mettant en danger les marins, les autres navires, l’environnement et la perte de biens !

La course effrénée au gigantisme des navires continue, cela obligera tôt ou tard les pays ou croisent ces géants à mettre en place des remorqueurs plus puissants que ceux existants à Boulogne, Cherbourg, Brest et Toulon, mais aussi à faire pression sur l’Organisation Maritime Internationale et l’Agence Européenne de Sécurité Maritime en évitant toutes ces réunionnites inutiles… il faut se décider rapidement.

En 2005, lors de la mise en service des remorqueurs Abeilles BOURBON et LIBERTE, les porte-conteneurs transportaient de 9 à 11 000 conteneurs, en 10 ans la capacité a doublé, les dangers eux ont été multipliés par 3 ou 4 …la prise au vent de ces navires étant dangereuse et interdisant certaines manœuvres, ainsi que la multiplication des produits dangereux transportés sur le même navire.

En 2012 16.000 Equivalent à Vingt Pieds (un EVP 38,5 mètres cube),

en 2013 18.000 EVP, en 2015 19.000 EVP,

en 2017 22.000 EVP…. et après ?

Ces géants de plus de 400 m de long, et de plus de 54 de large ne peuvent par vent de plus de 35 nœuds et mer formée être secourus par aucun des moyens nautiques existants en France et ailleurs dans le monde

.Pour l’association MOR GLAZ cette course au gigantisme est dangereuse  » mais elle existe « ,… donc les moyens de sauvetage doivent être renforcés  » appropriés  » partout en Europe et dans le monde.

L’association MOR GLAZ demande que l’Organisation Maritime Internationale et les assureurs de ces navires imposent aux armateurs d’équiper tous ces navires de ce que nous préconisons plus haut et du JLMD Écologic System.

Jean-Paul HELLEQUIN Président de l’association MOR GLAZ

c/c : Président de le République, Premier Ministre, Madame Ségolène Royal, Secrétaire d’Etat aux Transports, Direction des Affaires Maritimes, Secrétariat Général à la Mer

ABEILLE BOURBON remorque un chimiquier en panne de propulsion au large de la pointe du Raz ! Le 20 février 2016

L’équipage du chimiquier Turc après avoir essayé en vain de réparer sa panne de propulsion, a été mis en demeure de faire cesser tout danger.

L’association MOR GLAZ ne peut que saluer la décision prise par le Préfet Maritime de l’Atlantique.

Au moment de la mise en demeure, le navire se trouvait à 24 nautiques (44 kilomètres) à l’Ouest de la pointe du Raz, la mer était forte, et le navire dérivait vers l’Est.

Vers 17h00, l’Abeille Bourbon en alerte météorologique à Camaret s’est dirigée vers le navire en panne de propulsion. Le convoi est arrivé en rade de Brest le 21 février 2016 vers 1h30.

Ce navire appartient à l’Armateur Turc BESIKTAS SHIPPING GROUP qui possède 17 navires. Le BESIKTAS ORIENT a été inspecté en Suède en juin 2015 et ne présentait aucun problème

Pêche : Le Frein du Casier judiciaire supprimé !

Une avancée  » certes à la petite pêche « , les capitaines et les suppléants ne bénéficieront plus de prérogatives de puissance publique, on ne devrait ainsi plus exiger d’eux le respect des conditions de moralités autrement dit le bulletin n° 2 du casier judiciaire vierge. Le cas s’était posé cet été pour Cédric Lucas, qui ne pouvait pas devenir patron de son ligneur à Concarneau qu’après effacement de son casier (bulletin n°2). La forte mobilisation, sa victoire servira pour les suivants  » pour les autres « . Nous devrions tous en tirer des conclusions positives, s’unir pour réussir.

Monsieur Cédric LUCAS avait dû embaucher un Capitaine porteur pour faire naviguer son navire  » Le KENVAD « , la petite société n’avait pas survécu. L’association MOR GLAZ avait dénoncé le Zèle des Affaires Maritimes, puis la lenteur administrative pour obtenir l’effacement de son bulletin n°2, ainsi que pour obtenir le document le sésame obligatoire.

Lors d’une rencontre le 10 juillet 2015 avec Monsieur Patrick AUGIER Conseiller Mer au Cabinet du Premier Ministre, l’association MOR GLAZ lui avait accordé sa confiance pour faire progresser le dossier, il avait tenu ses engagements.

Cette situation était si ubuesque qu’elle avait provoqué l’émoi chez plusieurs de nos adhérents, certains allant jusqu’à proposer une pétition en ligne.

Afin d’obtenir gain de cause, l’association MOR GLAZ avait insisté sur la réinsertion. Tout mettre en œuvre pour réinsérer ceux qui auraient pu fauter ou dériver durant une période de leur vie, oui mais les millefeuilles administratifs (et les lenteurs administratives) contredisent trop souvent le beau discours sur la réinsertion et un texte interdisait toute réinsertion et progression sociale dans toutes les activités maritimes pour Cédric LUCAS et un grand nombre de marins.

L’association MOR GLAZ qui avait mobilisé (ainsi que les Syndicats CGT des Marins de Concarneau et du Grand Ouest et autres..) ne peut qu’être satisfaite de ce résultat, de cette réelle avancée et cette reconnaissance pour ceux qui souhaiteraient tirer un trait sur le passé, sur leurs erreurs, et progresser socialement dans ce beau métier de marin.

Cependant il faudrait que la mesure appliquée à la petite Pêche soit étendue à toutes les « activités maritimes  » y compris au commerce, à la plaisance etc.…..